Fyctia

Nul A.

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Elle écrit, elle écrit...

Quoi ? Comment ? Nul être vous dit...Vous dit ? Quoi ? Non, comment ?

Pour toi qui lis, écris, vis, grinces, ris et pleures.

Nulle femme que toi peut creuser pierre du stylet pour conter les minots qui ont entourés le jeune temps où une course sur tes souvenirs comme le son d'un violon, vitesse et énergie, ce sont tes petits.

Elle ! C'est qui elle ? C'est elle et lui, le cœur de ses écrits, où le bruit se perd et se cherche des heures... Un livre, une feuille, c'est tout, il suffit de ce peu pour que tes idées fourmillent et s'expriment. Moi qui ne suis que lecture de tes mots, tu es poète et douceur des lignes qui s'enserrent et ondulent sous mes yeux, volent des sourires et des clignements de cils, émue, bouleversée, tu deviens la pluie sur mes joues...

Encense le mot liberté dans ces lignes qui brûlent, Liberté est ton prénom, tes dires ont poussé cette plume qui n'est ni belle, ni docile, elle est rebelle et hors du temps ; elle couche ce qui est non lu, ce qui trouve en des écritures un monde plus fou. Il existe ici et loin, des doigts qui prennent les stylos, ils noircissent les bouts de fibre où les lignes sont tortueuses, des gribouillis que tu cries comme dessins. Je ne suis une étoile qui brille ; toi, tu es suivie, de mes pieds qui hésitent...pensée de celle qui t'écoute et qui se sent nulle, crois ce que ce chemin te donne de défis et surtout m'en veux plus d'écrire comme un chien. Le temps est joueur, cette mine ne stoppe plus, elle est de ce que tu me pousses, écrire c'est pour moi un souffle, le mien qui tourne en couleurs et en gris.

Pour toi, je dis merci.

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Nul E.

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Un mot pour lui.

Il fait don au fond du moi d'un courant qui va toujours à lui. Quand tu crois qu'il a tort, NON, il a raison ! Faut pas rougir, faut bannir un ou plus palpitant que soi, pour choisir qui ? Toi, toi, toi... car on fuit au mistral l'opposition, on polit la distorsion, on a la fusion d'amour du jour, toujours plus à ton doux parfum... À toi mon amour, ma passion.