De Ridder Un Coeur pour un Ange Chap XIII : De l'Ange au Démon

Chap XIII : De l'Ange au Démon

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13 commentaires

De Ridder

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Il y a 6 ans

Henri est un personnage très particulier. Et Aristide est un monstre. Deux démons dans une même famille.

Nicolas Bonin

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Il y a 6 ans

J'aime beaucoup le fait que tu humanises Henri. Après avoir eu un méchant des plus pervers, on entrevoit qu'il y a peut être une part d'humanité en lui et on se demande s'il n'est pas hanté par son oncle Aristide. C'est très prometteur.

De Ridder

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Il y a 6 ans

Oui je reconnais que cela fait un peu cliché peut-être. Mais l'histoire est loin d'être finie. ;)

Eldariel

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Il y a 6 ans

Henri avec un i -je suis sûre que je l'ai mal orthographié dans mes commentaires précédents xD Quel affreux bonhomme ! La présence du grand méchant fou qui veut pourrire la vie du personnage pricipal n'est pas très originale, mais c'est vrai qu'on ne s'en lasse pas.

De Ridder

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Il y a 6 ans

Oui les mamans ont toujours raison. Sauf celle d'Henri. La scène est éprouvante. Cette fois c'est Mélanie qui est en danger.

Lou.R.Delmond

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Il y a 6 ans

Règle numéro 1 : Maman a toujours raison. Ah le Henri c'est quelque chose. On sentait bien la confusion du moment dans ton écriture. Je ne sais si c'est parce que les phrases étaient plus courtes mais le rythme collait parfaitement à la scène!

De Ridder

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Il y a 6 ans

Les Mamans ont toujours raison.

Fanny, Marie Gufflet

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Il y a 6 ans

Sage parole de sa maman.. .n’épouse pas ce monstre Mélanie !

Mymy M. *Sakuramymy*

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Il y a 6 ans

Et ben je suppose qu'à l'époque cetait comme ca et qu'il y avait pas mal de mariages arrangés mais franchement forcer Mélanie a épouse ce démon... Non mais quelle horreur !!!!!

De Ridder

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Il y a 6 ans

Mélanie est issue d'une famille aisée. Je ne voulais pas déroger à la règle. Il était courant de présenter des hommes aux jeunes filles pour qu'elles se marient. N'ayant pas le droit de se promener seules, cela ne leur laissait pas beaucoup d'option. La femme était considéré comme mineure civilement. C'est le père puis le mari qui avaient tous les droits sur elle.