Incroyable entrée en matière, très nuancée et loin de ce que j'imaginais avec l'introduction ! Le style est impeccable, les détails cyniques me rappellent mes lectures cyberpunk préférées. Je suis conquis, hâte de découvrir la suite.

Sur ce chapitre, on sent l’oppression sur Eskander. Il n’a pas le choix de mener l’enquête de la mort de propre mère bien que Simon tente de le motiver de manière <elegante>. Il peut être chasseur pour autant il reste un déviant et il sera piégé par ce statut quoiqu’il se passe toute sa vie. Une classe dont on ne s’élève quoiqu’il peut être dit par l’académie (motivation de Sobek/ l’ombre) On voit par cette discussion comment se passe une enquête a cet époque car on est seulement à quelques heures de l’attentat et l’enquête est bien avancé: ce sont des algorithmes logiques qui permettent d’avancer et de boucler une enquête en quelques minutes sans intervention humaine sauf que comme la c’est un déviant et par définition quelqu’un pour eux n’ayant pas une logique de pensée conforme, la machine bloque et nécessite une intervention humaine pour avancer : c’est un peu le débat que nous avons actuellement ou dans un futur proche ( quel métier pourra être remplacé par une IA et dans quelle mesure ?) Sobre est personnifié pour la première fois, c’est plus la nuit on est plus dans l’ombre c’est une personne…<un saleté de deviant> On voit aussi que le racisme anti chinois est complètement dissocié du statut de déviant : quel est le pire? La sobek on dirait qu’il est les 2 comme Eskander d’ailleurs Enfin Abel et Simon ressemble à des prototypes d’homme politiques actuelles, sans prendre parti sur lequel est le mieux C’est vraiment bien joué j’adore ! On est à la fin très touché par tout ce qui arrive à Eskander. Hâte d’en lire plus 😍