Un chouette dialogue avec la psychologue et Hank qui pose, malheureusement, la bonne question. On ne peut clairement pas accepter la disparition d'un enfant.

ça se comprend

je suis un peu sceptique sur cette phrase. je ne la voyais pas dire les choses de cette façon

répétition ;-)

totalement

un peu bancale cette phrase. il faudrait peut-être la reformuler

sans savoir de quoi il s'agit ?

Me voilà à jour. Je te fais ici un commentaire global sur ma lecture. Du côté de la forme, quelques phrases sont à reformuler : un peu longue, des répétitions mais c'est normal pour un premier jet ! Pour le fond l'enquête avance bien et on a envie d'en savoir plus. Une chose me choque un peu plus sur la chronologie, j'en ai déjà parlé pendant quelques commentaires. Il a une prise de conscience soudaine mais après on dirait que tout lui arrive d'un coup. Il dit qu'il ne pense qu'à la disparition de sa fille mais n'a rien fait pendant deux ans. Pile le jour où il est suspendu et qu'il décide de reprendre l'affaire : il rencontre Dana. Je trouve ça un peu facile... Après je trouve que tu dépeins bien la crise dépressive que peut ressentir un parent après la disparition de son enfant. La relation Billy, Daren et Hank risque d'être intéressante ! Bonne écriture !

Merci pour ton retour global. Je sais que j'ai des phrases à revoir, un grand classique chez moi xD. Après pour la chronologie, je peux comprendre que ça perturbe et je pense que je vais devoir ajouter des détails quand je ferais la réécriture. En tout cas, ce n'est pas une chose que j'ai écarté car Hank à dans le chapitre... ( que je viens de publier, je ne sais plus c'est le combien uhuh ) il a la remarque sur son manque d'action avant aujourd'hui et il explique pourquoi :).

C'est étonnant qu'elle dise ça avant qu'il lui explique ledit problème je trouve.