Eponyme Solastalgia Émotivité de l’échec 7

Émotivité de l’échec 7

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41 commentaires

WildFlower

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Il y a 2 ans

C'est vrai que je viens de tilter... mais qu'est-ce qu'un doctorant en biologie fait avec toute une artillerie sur lui ? XD drôle de doctorant celui là... J'aime beaucoup comment tu abordes la question des IA, de plus en plus performantes et proche de remplacer les humains... ce futur ne semble pas si éloigné finalement, mais j'ose espérer que nous n'arriverons pas jusqu'à ce stade d'être totalement remplacés. Avrora manie vraiment les mots à la perfection ! En tout cas, si Babel se rebelle il y aura de la casse :p

Eponyme

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Il y a 2 ans

Il n'est effectivement pas un Docteur en biologie comme les autres ^_^ Pour l'IA, je ne m'inspire que de ce qui existe (et actuellement je suis assez remontée contre les IA graphiques)

Leana Jel

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Il y a 2 ans

j'aurais beaucoup trop de choses à dire là !! L'IA est un thème auquel je me suis intéressée beaucoup plus récemment que l'environnement donc je n'ai pas autant de matière pour discuter malheureusement. Mais tout ceci est effectivement très proche de nous et, à l'image de beaucoup trop d'autres choses, le babel que tu décris est un excès de dopamine beaucoup trop facile d'accès, et je pense que tu prédis avec justesse ce qui risque fort d'arriver, et ça fait peur, parce que ça veut les dire que les humains ne seront plus capables de se comprendre entre eux... exactement comme dans le mythe de Babel. Quelle ironie...

Eponyme

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Il y a 2 ans

C'est marrant parce que quand j'ai rédigé cette partie d'histoire, j'étais encore au courant de tout ce foin autour de chatGPT (alors que clairement, on est en plein dedans) Mon inspiration, c'était plutôt les IA graphiques, du genre Dall.E ou MidJourney, parce que je suis concernée par les changements et les polémiques qu'elles entraînent dans leur sillage (je suis artiste pro, en arts graphiques). Et oui, c'est toute l'ironie de Babel : iel parle toutes les langues, mais à côté de ça, les humains ne se parlent plus entre eux.

Leana Jel

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Il y a 2 ans

Babel est vraiment une super invention de ta part. Ah mince... je n'y connais rien dans ce domaine non plus, mais je ne vois pas comment on pourrait remplacer les artistes.

Mira Perry

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Il y a 2 ans

Cette description de Babel est effrayante. Comme dans les autres histoires, ce futur est pourtant très proche de la réalité. Comme le dit Avrora, heureusement qu'il reste l'émotivité de l'échec. C'est étonnant car hormis son Master en poule de luxe, je m'identifie beaucoup à elle ^^

Eponyme

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Il y a 2 ans

Je suis émue de lire ça (la boucle émotive est bouclée, ahaha !)

Eponyme

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Il y a 2 ans

La technologie est un outil, un outil est normalement neutre, ni bon ni mauvais en soi. Mais si toi et moi avons peur de ce genre de technologie, c'est parce qu'on sait que l'usage qui risque d'en être fait dans l'état actuel de notre société peut être effrayant. Mais si on y pense, une IA comme Babel peut être une aide miraculeuse pour plein de gens : la commande vocale peut servir à des personnes paralysées, à des aveugles, Babel peut faire le sous-titrage pour les sourds, régler plein de soucis d'accessibilité, je me dis aussi qu'il pourrait être calibré pour aider au quotidien des personnes qui ont des problèmes de communication, de compréhension : des handicapés mentaux, des autistes non verbaux, il pourrait aussi aider comme outil thérapeutique pour des maladies mentales peut-être ?

Adrien Lioure

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Il y a 2 ans

C’est donc elle la personnage principal de la nouvelle finalement ? Je comprend mieux ! C’était ambitieux de traiter de l’IA et de l’empathie à travers cette relation et ce contexte. Cela m’a pas mal dérouté, j’aime comment tu retombes sur tes pattes mais il y a certainement quelques ajustements à faire sur Angad pour lui donner encore plus corps et qu’à travers ses yeux, Avrora se dévoile encore plus belle car humaine

Eponyme

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Il y a 2 ans

Avec la chasseuse, j'ai d'abord raconté ses vie et expliqué ses enjeux avant de la mettre en scène : l'exposition a précédé l'action. Pour Angad, j'ai choisi l'inverse : on le voit agir avant de le connaître et de comprendre ses motivations, et c'est volontairement que je joue sur le mystère et les signaux contradictoires (un prof de fac avec des armes, un mercenaire gentil, un biologiste passionné d'animaux qui s'implique dans une affaire de braconnage). Il reste trois chapitres, qui livreront quelques petits éléments supplémentaires, mais pas de quoi satisfaire la frustration. Mon propos pour cette histoire était celui de l'IA, de l'empathie et du contact humain.