On sent à leurs retrouvailles l'amitié entre eux, bravo !

Je tique un peu sur cette répétition de date/heure en début de chapitre, pour deux raisons : tout d'abord, je ne comprends pas quel est l'intérêt dans le récit d'une telle précision à l'heure près, surtout que depuis plusieurs chapitre on est dans la même journée, donc a-t-on besoin de savoir quelle heure il est ? (Peut-être y a-t-il un intérêt qu'on découvrira plus tard ?) Je suis pas sûre de toute façon qu'à le lecture on retienne des choses aussi précises : l'enjeu temporel pour l'instant est de savoir que la disparition s'est produite en été 2020 et que le présent de l'enquête est deux ans plus tard à la même saison, mais ça tu nous l'as déjà très bien fait comprendre dans le texte (avec le mémorial, les diverses mentions à l'été, etc...) à moins que la date du 23 soit particulièrement importante, je pense que ces timecodes ne sont pas forcément nécessaires, déjà parce qu'on ne va pas s'en souvenir (quel est l'intérêt que les deux se retrouvent à 18h13 ?), et ensuite, parce que dans un roman policier, les dates qui importent (éventuellement) sont celles qui sont des indices dans l'enquête. Après, c'est aussi ma préférence personnelle : je ne vois pas ce qui justifie un timecode à moins que le récit soit une entrée de journal intime ou de lettre, c'est à dire que le timecode fasse partie de la diégèse. Quand dans une fiction, il y a un morceau hors diégèse, ça a tendance à me faire tiquer, parce que je le vois comme une facilité voire une maladresse d'écriture.