Elsa Carat (A)muse-moi ! Ce que j'attends

Ce que j'attends

" Ce que j'attends d'une séance d'interview? - Qu'elle se passe le plus vite possible ! " -Vanessa Paradis



  • Interview exclusive de Clémentine Fleury du 21/01/2020 pour le magazine « Number One »


Journaliste : Bonjour, Clémentine Fleury. C'est l'unique interview que vous avez accepté, merci de nous avoir fait confiance.


C. F. : De rien. Ma mère ne pas vraiment laissé le choix ( Rire gêné)


Journaliste : Comment allez-vous ? Et comment avez-vous vécu le "buzz " médiatique autour de cet article qui vous présentait comme la fille d'Aria Fleury et comme une muse ?


C. F. : Je vais bien, merci. Ça n'a pas été évident pour moi car même si ma mère est effectivement célèbre, je n'ai jamais été personnellement exposée. Je n'étais pas habituée et ça m'est tombé dessus brutalement. De plus, je venais de subir une rupture sentimentale douloureuse. Mais je pense que cette mauvaise passe est derrière moi, maintenant.


Journaliste : Votre mère vous a-t-elle aidée à traverser cette "mauvaise passe " comme vous dîtes ?


C.F. : Bien sûr, elle avait l'expérience des journalistes, du tourbillon médiatique, des buzz... Elle a pris les choses en mains et m'a retiré une grosse partie de mon stress à ce moment là.


Journaliste : Diriez-vous que cette expérience vous a rapproché toutes les deux ? C'est en tout cas, ce qu'elle a dit lors d'une précédente interview.


C.F. : Oui, je pense aussi que ça a contribué à renforcer nos liens. Le milieu du show-biz ne m'était pas du tout familier et je regardais le monde dans lequel évoluait ma mère d'un œil un peu suspicieux et craintif. En entrant malgré moi dans ce milieu, j'ai appris à mieux connaître le contexte dans lequel évolue ma mère et donc forcément à mieux la connaître, elle. Mais ça reste un univers dans lequel je ne me sens pas à l'aise !


Journaliste : Vous avez donc repris votre activité en tant que psy, qu'est ce que ça a changé pour vous et pour vos patients ?


C. F : Ça n'a rien changé. Mes patients viennent me voir pour parler d'eux, pas pour parler de moi. Je me suis rendu compte qu'au final, pour la plupart d'entre eux, toutes mes histoires ne les intéressent pas et c'est tant mieux. La seule chose qui est nouvelle, c'est que j'ai plus de clients et qu'en plus de mes patients habituels au cabinet, j'ai développé de nouvelles compétences. J'exerce maintenant à domicile à mi-temps dans des séances spécifiques pour des stars du show-biz. J'aime beaucoup cette nouvelle dimension de mon métier. Et ma mère me ramène tout plein de clients ! (Rires)


Journaliste : Pour conclure, où en êtes-vous sentimentalement parlant ? Avez-vous des nouvelles de Bastien Reno ?


C.F. : Je suis célibataire et ça me va parfaitement. Je ne me mets pas de pression. Je laisse faire les choses et le temps. Et non, je n'ai plus de contact avec Bastien. Je crois qu'il était préférable pour nous deux de nous éloigner. Mais je n'ai plus de rancœur contre lui. Je lui souhaite le meilleur. Vraiment.


Journaliste : Vous arrive-t-il de penser encore à lui ? Il n'a pas tari d'éloges sur vous à la télévision et dans la presse, qu'en pensez-vous ? Cela vous a-t-il touchée ?


C.F. (Mal à l'aise) : Bien sûr que ça m'a touchée... (Silence) Qui ne serait pas touché d'entendre de belles choses sur soi... Surtout venant d'un homme comme Bastien... Il est drôle, cultivé, spontané, volontaire, un peu maladroit et même attendrissant parfois... (Emue) Pardon. (Demande à arrêter l'interview). 



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1 commentaire

PIERRE SCHOTT

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Il y a 5 ans

ENCORE TRÈS BEAU, CE CHAPITRE - MÊME SI LE DÉBUT ME PARAÎT UN PEU "DÉCALÉ", POUR UNE PSY...
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