Ton chapitre montre que tu sais manier les émotions de tes lecteurs. Il m'a pris aux tripes. Encore une fois, on se plonge corps et âme dans le personnage, et on s'attache à elle. Ce passage m'a marqué : « Les jambes de Mila ne la soutinrent plus, et elle s’effondra au sol, emportant avec elle le rideau orangé qui pendait à la fenêtre. Sa tête tournait si fort qu’elle en avait la nausée. Sa voix s'éraillait. Le sang pulsait dans ses veines. Puis, enfin, après plusieurs minutes de cris et de coups, tout devint noir. » En espérant que cette courte analyse, basée sur mes ressentis de lecture, te plaise davantage qu'une approche plus neutre et détachée. Encore une fois, merci pour tes précieux conseils. Après relecture de ton message, je comprends que parfois il vaut mieux éviter la perfection au profit de commentaires plus personnels, même si cela implique de s'exposer (ce que je n'aime pas faire).