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Oh là là, ce chapitre était tout simplement enflammé ! Mais que dire de Ponyta si ce n'est qu'elle est l'incarnation même de la grâce enflammée ! Cette déesse ponette de feu illumine nos cœurs et nos esprits par sa simple présence. Franchement, si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer ! Continue de briller, Ponyta, car ton feu intérieur réchauffe nos âmes et inspire nos rêves les plus fous. J'ai hâte de voir où tes flammes nous mèneront la prochaine fois !

On ressent bien l'angoisse de Nicandros, dans ce chapitre, avec cette sensation d'enfermement dans ce labyrinthe. C'est toujours super bien écrit, super fluide, avec les petites touches de trame / lore qui viennent à point nommé. J'ai trouvé que sa sensation d'être piégé venait peut-être un tout petit peu trop vite ? J'ai eu un peu l'impression qu'il était à peine arrivé qu'il était déjà en panique. J'ai trouvé que c'était une chouette touche, cela dit, que ce soit lui qui refuse d'utiliser le pouvoir de Potnya plutôt qu'elle qui lui refuse, ça renverse un peu le rapport 👌 Cela dit, je ne suis pas à 100% sûre de comprendre pourquoi elle ne lui dit pas ce qui se passe, si elle l'a compris (elle a l'air de, mais je peux me tromper...), puisque ce ne serait pas utiliser son pouvoir : ils conversent quand même. Et maintenant, à la mer !

Il est toujours pris au piège, et ne peut pas recevoir l’aide de Potnya. C’est assez stressant comme épreuve quand même pour des ados ! A voir comment il va s’en sortir. C’est bon sinon, j’ai capté Nicandros ! Par contre les camarades j’ai déjà tout oublié 😂 je vais faire un tableur.

Je me permets de contredire le retour sur "la lenteur" du dilemme. Je pense au contraire qu'il est presque déjà trop rapide. Je m'explique. Ici, le dilemme d'avoir recours au pouvoir de Ponyta (je fais volontairement la faute en clin d’œil à Lucie ^^) sert de moteur à l'avancée mais aussi comme moyen de mettre du suspense. Le rusher, perdrait le deuxième intérêt. Je pense au contraire qu'il faudrait peut-être penser à un ressort scénaristique (qui serve aussi à caractériser le personnage) pour qu'il y ait plus de doute, qu'il en soit à la limite de l'utiliser. La tension qui se créerait derrière en serait grandie. Vouloir à tout prix fluidifier et rythmer comme un métronome un texte, peut lui faire perdre son charme. Ce n'est bien sûr que mon avis, mais je pense quand dans le cas précis de ton texte, il serait judicieux de ralentir le rythme. (Je vais donner un exemple connu de la littérature, quand Sam récupère l'anneau de pouvoir, dans le livre, avant qu'il ne le rende à Frodon, le rythme est très lent. Il y a une sensation d'étouffement, où il est tenté de l'utiliser et de le garder pour lui. Si le rythme était plus rapide, cela gâcherait l'effet.) Tu en penses quoi ?

C'est Lucie Feyre qui a lu Ponyta pendant des chapitres entiers XD Après, il faut que ton texte te plaise, c'est le plus important :-)