Alexandre Audiard R.E.M. Seule à la maison IV

Seule à la maison IV

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60

60 commentaires

Maëlle Tempête

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Il y a 3 ans

Malin le lourdaud !

Alexandre Audiard

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Il y a 3 ans

Ouaip

Barbara Tremblay

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Il y a 3 ans

Pour moi c’est clair, le policier a retrouvé un des deux taupins, celui qui pisse le sang a cause de l’attaque foudroyante d’Yvette et de la batte de baseball. Very good one !

Alexandre Audiard

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Il y a 3 ans

Merci Barbara !

La Plume d'Ellen

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Il y a 3 ans

J'aime bien la manière dont tu fais durer le suspens, dans ce chapitre. On se croirait dans une action au ralenti... D'un côté, les voyous qui vont régler son compte à la mémé... elle gagne du temps comme elle le peu... et de l'autre, la police qui n'en finit pas d'arriver. La façon dont tu décris ces fichus escaliers que les flics sont obligés de monter à fond donne également un côté plus réel. Mais ouf, ça y est, ils sont là et appellent l'ambulance. Sauf que comme tu ne précises pas vraiment qui ils ont retrouvés, on peut alors pensé qu'il peut également s'agir des brigands... Qui sait, s'ils ont tué la mémé et planqué dans l'armoire où elle s'était cachée...

Alexandre Audiard

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Il y a 3 ans

Merci pour ton retour Plume d'Ellen. EN fait, je précise ici que le halo de la lampe du policier bedonnant '' de sa lampe dévoile le moribond ensanglanté '' ... et qu'il ment en hochant la tête quand le policer lui demande s'il est seul (et que la porte de la cuisine claque, laissant supposé une fuite) . Mais je comprends très bien que mes phrases courtes(minimalistes?) et nerveuses peuvent être confondantes quand on tente de suivre plusieurs histoires à la fois, j'ai le même défi, de retenir toutes les intrigues en plus de cogiter aux miennes ! (en plus je vous complique la tâche en alternant deux histoires en parallèle...je suis intraitable !). Je garde vos commentaires précieusement en mémoire pour la réécriture, il y a surement matière à la clarification. Au plaisir de vous lire !

Alexandre Audiard

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Il y a 3 ans

Ce petit quiproquo m'obsédait trop ... Il fallait que je sache pourquoi vous aviez obnubilé certains passages importants. Après un café noir, deux capuccinos et trois Espressos, je crois que j'ai résolu l'énigme, dénoué le nœud gordien, trouver le morceau du puzzle manquant bref... Se pourrait-il que vous ayez survolé le chapitre 15 (seule à la maison III) dans lequel la victime sanguinolente est bien identifiée ? Yvette (le mémé) est celle qui frappe et cause les dégâts dans ce passage que je reprends ici = '' Yvette relève la tête. Un voile noir défile devant ses yeux. Sans attendre, elle lève la batte et cogne sur la jambe du molosse de toutes ses forces en grognant comme une chienne enragée. Le choc fait plier les os du genou vers l’intérieur, en sens inverse de l’articulation. Le tibia craque et transperce l’épiderme, accompagné de liquide écarlate et d’un amas de ligaments'' .Voilà le passage qui identifie le moribond (et son attaquante) , celui qui répand son sang sans soucis et qui a donné du fil a retordre... Bon, c'est pas tout, je retourne à mon traitement de texte pour rédiger la suite. En espérant qu'elle vous plaira ! ( je reproduis ici ce commentaire dans le prochain, pour être certain qu'il vous sera accessible et bien lu) Merci encore !

Thierry Guillerminet

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Il y a 3 ans

Vive les néologismes que diable.

Gottesmann Pascal

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Il y a 3 ans

Bravo Yvette. Elle est géniale cette mémé.

Alexandre Audiard

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Il y a 3 ans

Merci Gottesmann Pascal !