Linda Mayer L'associée Sur un air de Bach

Sur un air de Bach

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39 commentaires

Méli

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Il y a 2 ans

Elles se sont vraiment incrustées pour la bouffe? Franchement si c'est ça, mdr, je ne m'y attendais pas. Attention, je ne dis pas que ce n'est pas une raison suffisante (la bouffe : la vie). Le premier financier est super bien décrit, et le deuxième...hâte de connaître son identité...belle entrée en matière. J'ai déjà pleins de questions en tête: comment les a-t-il repérées? Ecoutait-il? Est-il du milieu? Que pense-t-il?

Méli

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Il y a 2 ans

Surgissant est peut-être un peu fort dans ce contexte? Je ne sais pas si on peut le dire d'une voix...:)

Noémie H.

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Il y a 2 ans

À

cedemro

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Il y a 2 ans

Sauvées par un mystérieux financier qui semble parfaitement crédible aux yeux de l'arrogant M. Delewitz. Reste à savoir ce que le nouvel arrivant désire obtenir de cette intervention héroïque...

Andrée Martin

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Il y a 2 ans

Wow, j adore la description de notre invité ☺️😍 Excellent chapitre, ton écriture est fluide, pas de fautes ni de répétitions qui allourdisent le texte, une très belle plume. Je continue 🥰

Andrée Martin

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Il y a 2 ans

J adore ce passage 🤣

Andrée Martin

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Il y a 2 ans

J adore cette phrase 🤣

AlexJigwood

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Il y a 2 ans

In love. Elles ont quand même un sacré culot de se pointer là quand elles sont du milieu...! J'aime beaucoup leur duo, j'aime la façon dont tu les décris, s'immiscer dans une soirée pour de la bouffe = meilleure raison, et hâte d'en savoir plus sur l'inconnu

Linda Mayer

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Il y a 2 ans

C'est l'unique partie autobiographique de cette histoire. *tousse*

Gottesmann Pascal

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Il y a 2 ans

Les deux cousines se retrouvent dans un univers qui leur est définitivement étranger. Malone garde ses complexes surtout quand elle se retrouve face au deuxième homme qui lui parait si attirant. Les descriptions précises permettent de vraiment se projeter au sein de cette soirée mondaine où se retrouvent tout ce que Chicago compte de banquiers.