J'aime Sybille. On comprend son maltraite au long des chapitres. Mais il manque quelques choses. On la retrouve toujours dans un état de peur, de remise en doute, de stresse. Et en ce qui me concerne, même si je la comprend, plus je lis et plus j'ai juste envie de la secouer. Je me veux dire : prend un peu de caractère ! Tu savais à quoi t'attendre ! (Enfin bref, tout ça pour dire que, avec quelques passages de confiance en sois venant de Sybille, on serait beaucoup plus touché par ses moments de faiblesses. Ici on a qu'un personnage qui se jette toute seule la pierre, et à force on perd l'empathie qu'on a pour elle tout simplement parce qu'on ne la voit pas se battre ; elle subie.)