L'humour est plus discret dans ce chapitre (ou alors je m'habitue trop au luxe de ta plume ? :p ). Même si la fin avec le coup des " livres / séculaires" m'a quand même beaucoup fait rire. Le côté conciliateur du narrateur m'a surprise, dans le sens où il avoue lui-même (plus tôt) être un fier représentant de la ligue de la ceinture noire lâcheté : étonnant qu'il porte ses bijoux de famille pour défier mister blondinet dans sa crise existentielle pour appuyer sa puissance face à un pauvre serveur payé au smic x). Sinon, contrairement au narrateur, j'ai une hypothèse plutôt simple et pragmatique : on lui a imposé ce RDV. Soit une amie / famille ou pour des biens faits professionnels. Il est clair qu'il est le " fils de ". Il a une importance uniquement grâce à papa. Quant à la demoiselle, comme perçu avec le urus, on se doutait qu’elle maîtrisait l’étymologie et la culture G ( dont est dépourvue blondinet).

Toujours sympa à lire! Le fait que Chris et la fille passent du vouvoiement au tutoiement plusieurs fois me chiffonne un peu mais tu le fais peut-être exprès ! Dis moi si tu ne veux pas de corrections orthographiques ! Tu ne m'a peut-être pas adoptée pour ça ! :p

Ça se corse mais c'est toujours intéressant

Pétard, une nana qui lit des livres, c'est foutrement prometteur :)

Bienvenue dans le concours. Voici ma petite aide de la matinée. Si le cœur t'en dit de jeter un œil à "Soleil, grands amours et bouquets de fleurs" pour le concours "comme dans un film", tu es la bienvenue. Bonne écriture 🌺