Une plume toujours aussi jolie! Les émotions sont bien décrites. Pas mal de choses qui lui arrivent en même temps la pauvre...

Plonger dans l’esprit tourmenté de Mubuta nous immerge dans le mystère du récit. Après avoir marché dans la rue, elle arrive à sa maison. J’aurais quelques petites remarques sur ce passage : De « le petit portail se dresse devant moi » à « une fois à l’intérieur ». Un peu rapide, selon moi. Je pense qu’il serait intéressant d’ajouter des éléments contextuels : porte qui s’ouvre en grinçant… plutôt que ce « une fois à l’intérieur », un peu pauvre. Idem une fois dans la maison, lorsqu’elle trouve ses parents dans sa chambre. Ou sont-ils ? Sur le lit, comme on le lit juste après, mais il faudrait plus de détail pour mieux imaginer la scène, se plonger dedans. Je trouve très intéressante, ton idée d’amener un contraste entre les résultats du bac et l’annonce des parents. Le fait que l’annonce tombe à l’eau augmente le tragique et l’intensité de la situation. Ce genre de ressort narratif est précieux. C’est bien trouvé. La vérité s’offre à moi, promenant… terme trop léger, connoté positivement. Pourquoi pas charriant… Idem pour la migraine qui me torture le crane ; vrille ? Je sens qu’on rentre dans le vif du sujet, avec la lettre…

Une histoire qui s'annonce captivante et intriguante dès le début, je continue ma lecture.

Je'avais déjà laissé ce commentaire lors de ma première lecture : Chapitre très haletant. Mubuta doit digérer beaucoup de choses en peu de temps! Pour aller plus loin, tu pourrais jouer un peu plus sur la description des sentiments :)