Concernant l'accident: "Trop tard ?" idem reformule, je pense, comme avec: Pas le temps de réagir, elle heurta une lourde masse...

"Il était parfait son mari ! Trop ?" Laisse le lecture se poser la question, reformule: les agissements de son mari la confortaient dans l'idée d'aimer un être parfait. Et pourtant, à contrario une voix lui insuflait de rester sur ses gardes.

"Marre de ne pas dormir" : peut-être que: "éreinté de ne pas trouver le sommeil" sonnerait mieux, le mot "marre" me gêne.

Plus marquer les temps entre ce que écrit l'auteur et les pensées d'Astrid. Ou soit tu es le narrateur ou Astrid nous racontes son récit.

Alors j'aurais mieux marqué une pose juste avant d'entrer chez le médecin, une phrase ou deux de description, car le dialogue s'enchaîne entre celui qui la sauvé et le dialogue avec le docteur. Ici, les questions rebondissent en amont et arrivent à point ! Tu tiens le lecteur en haleine, bien joué !

Pour le coup, ce chapitre est un revirement niveau écriture. Donc je te conseille d'essayer de mélanger un peu plus ce côté recut avec les dialogues, ça donnera un rythme a ton histoire et ça coupera un peu moins le lecteur dans sa lecture. Ensuite, tu développes ton récit doucement, mais l'intrigue est bien la. Pas mal de questions apparaissent. Notamment, pourquoi elle reste isolée à ce point ? Pourquoi elle ne croit pas en l'amitié de celle qui lui envoie un message ? Je trouve ça, assez fou qu'une chroniqueuse s'enferme autant. Et cette maladie qui lui fait avoir divers symptômes, c'est à la fois étonnant et perturbant. :)