Il commence sur les chapeaux de roue, ce chapitre :O on ne connaît pas encore grand-chose d’Edeanath mais manifestement elle n’est pas au top de sa forme. La description de sa terre natale fait rêver, j’imagine que ça doit effectivement être un crève-cœur pour elle de la quitter. Ensuite, arabesques et palais noir ? Je signe direct ! On aime les grands palais noirs, par ici haha. Le fait que la pilote la retienne sur la passerelle est très touchant – d’autant plus s’il n’en a pas le droit d’ordinaire, question de protocole. Ça rend le geste symbolique. Par contre je sais pas pourquoi, je l’imaginais un poil vieillot aussi, mais la carrière élancée souligne peut-être le fait qu’il est assez jeune, plutôt?
Eponyme
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Il y a 2 ans
Quel chapitre poignant ! Le chagrin et la mélancolie de cette femme m'ont infusée, et l'échange fugace avec le pilote était douloureusement beau, d'une grande délicatesse. Beaucoup d'éléments de ton monde se mettent tranquillement en place, mais avant l'exposition, c'est la vision qui nous prend : tu décris très bien tout, on est face à des scènes cinématographiques, entre splendeur, étrangeté, familiarités, paysages et objets. Je suis sous le charme de ta plume délicate et précise, et chaque description est puissamment évocatrice. J'ai envie de savoir quel est ce sort terrible qui attend Edeanath, qui l'arrache à son pays et ses repères.
Ama12
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Il y a 2 ans
Tu as vraiment un talent pour les descriptions !
Lou.R.Delmond
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Il y a 2 ans
J'ai le coeur aussi serré qu'Edeanath ; tu transcrits bien toute la peine et le renoncement à la liberté et la mélancolie de quitter ce qu'on a toujours connu
Laureline Maumelat
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Il y a 2 ans
han, un début d'idylle, un mystérieux renoncement... ça promet
10 commentaires
LouiseLysambre
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Il y a 2 ans
Eponyme
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Il y a 2 ans
Ama12
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Il y a 2 ans
Lou.R.Delmond
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Il y a 2 ans
Laureline Maumelat
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Il y a 2 ans