Salut ! D’abord, bravo pour l’ambiance forte que tu as su créer dès le début, avec une Venise en guerre qui fait tout de suite entrer le lecteur dans l’histoire. On sent que tu veux transmettre des émotions complexes à travers Marco, et ça promet pour la suite. Maintenant, il y a quelques éléments à retravailler pour que ton histoire soit encore plus fluide et immersive. Déjà, je te conseille de faire attention aux potentielles incohérences dans le déroulement des événements. Par exemple,
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
la guerre est finie, mais on a l’impression que Marco est encore en plein chaos, comme s’il vivait encore les violences d’un conflit. Pour que ce soit plus clair, tu pourrais par exemple choisir un moment précis après la guerre, comme un lendemain où tout est confus mais où la paix est la liesse est présente dans les rues. Ou encore plus tard, mais qu’on sache si le chaos vient précisément de la guerre ou d’un problème plus conséquent vis-à-vis de Marco (après je chipote pour par grand-chose,
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
rassure-toi ^^ ). Ensuite, tes personnages gagneraient en force si tu développes un peu plus leur quotidien et leurs pensées. Par exemple, pour Marco, tu pourrais décrire la sensation du froid ou de la faim dans son ventre au lieu de juste dire qu'il est affamé. Ça rendrait son vécu encore plus percutant. Côté syntaxe et vocabulaire, attention aux fautes, qui coupent un peu la lecture. « Cet histoire » au lieu de « cette histoire », ou « il fuya » à la place de « il fuit » — ça peut sembler des détails,
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
mais ça joue beaucoup sur le rythme. Une relecture (tu as des sites qui font des échanges de BL) ou l’aide d’un correcteur automatique peut faire toute la différence. (Ça pullule sur le net, il y a même des versions d’essais gratuite de antidote qui se trouvent). Pour les dialogues, certains échanges sont, selon moi, trop formels pour le contexte, surtout quand les personnages sont censés être en colère ou en plein conflit. Par exemple, quand le noble attaque Alessio en lui disant qu’il n’est « qu’un
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
gueux », pense à des mots plus directs et crus qui accentueraient la violence de la scène, comme « va-nu-pieds » ou « petit rat ». Tu resterais dans le langage injurieux, mais cohérent avec le rang du noble. Et enfin, ton exposition. Parlons du fameux « show don’t tell ». Parfois, tu décris directement les émotions ou les sensations au lieu de les montrer. Par exemple, plutôt que de dire que Marco ressent « la peur la plus primitive », montre-le en train de transpirer, de chercher une issue du regard,
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
ou de trembler. Ce sont ces petites images qui font toute la différence. Si Giacomo lui inspire la confiance, montre-le en train de tendre la main, hésitant, au lieu de simplement dire qu’il a « un ton paternaliste ». C’est vraiment ces petits rien qui plongent le lecteur dans la lecture assidue. En tout cas, j’espère que tout ça pourra t’aider à affiner ton texte et que les prochains chapitres continueront dans cette direction. En tout cas ce début est très triste et prenant, il y a beaucoup de potentiel ! Bon courage et bonne chance pour le concours !
Bedite
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Il y a 14 jours
Mille merci pour ta réponse, je tiendrai compte de toutes les critiques. Je suis d'accord un peu avec toutes les critiques parcontre pour le "show don't tell" personnellement je n'aime pas cet règle, et si je n'aime pas c'est parce que j'ai aimé le style de narration de George Abe qui prend la peine a chaque fois d'expliciter avec le narrateur. J'essaie de m'en inspirer
Amphitrite
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Il y a 22 jours
Petit passage de soutien chez les Italiens! Si tu as le temps, passe me soutenir aussi sur Muse Academy.
8 commentaires
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
Anthony Dabsal
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Il y a 15 jours
Bedite
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Il y a 14 jours
Amphitrite
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Il y a 22 jours