En plein rattrapage sur le concours histoire (c'était très compliqué de tout suivre en même temps car tellement de belles histoires et très occupée par le boulot en cette période de confinement), mais je m'étais mise la tienne de côté. Alors j'ai pris une grande claque. J'ai aimé, sincèrement. Tu as un style vraiment magnifique. Cela semble tellement facile quand on te lis, même si on imagine très bien le travail qu'il y a derrière. Et puis cette couverture, comme je t'ai déjà dit est splendide ! On sent beaucoup de pudeur dans ton récit, une grande sensibilité, mais pas de sensiblerie. Je n'ai pu empêcher mes larmes de monter à certain passage ( je suis ce que les psys catégorisent comme une hypersensible mais quand même). Je suis contente d'avoir attendu pour te lire car j'aurais été frustrée de n'avoir qu'un chapitre à la fois. Alors un grand merci pour ce récit, je comprend pourquoi je te voyais remonter vite dans le classement. On ne peut pas être insensible à une histoire telle que tu la racontes. Je t'ai apporté au passage j'espère, un bon coup de pouce de scout. Sortie à surveiller pour moi si tu édites après le concours ! Mais en attendant, vite la suite ...

Coucou Céline, je ne vois plus le message que je t'ai envoyé, je ne sais pas ce que j'ai "foutu"bon eh bien que te disais-je? Oui, que je suis heureux et flatté, tu penses bien, que tu aime mon récit, tu sais depuis mes débuts sur Fyctia, j'ai acquis une "petite" renommée, enfin je ne peux pas plaire à tout le monde, disons que j'ai un style d'écriture qui plait à une catégorie mais tu ne peux pas plaire à tout le monde bien sur. Par contre, mes lecteurs sont adorables, leurs commentaires me touchent à un point tu ne peux même pas t'imaginer, il ne savent pas combien je leur suis aussi attachés, ils m'accompagnent jusqu'au bout, alors que veux-tu au dernier concours "sorcières" j'ai continué au delà du dernier jour, tu sais qu'on le peux, à condition de retenir la fin,alors j'ai continué à publier pour eux, ils m'avaient suivis tout le long du concours, je n'avais pas le cœur de leur faire ma révérence comme ça et en plus je n'en avais pas envie, chaque fois, la séparation est comme une rupture, on dirait que je les connais bien, même si je ne les ai jamais rencontrés personnellement! Alors bien sur ça commence à faire du monde et ça créé des votes importants, alors dés que j'arrive (toujours en retard, un mois après le début du concours)pfuit, c'est le retour, les retrouvailles, je finit par les connaitre un peu , ce sont en majorité des femmes, c'est bien les femmes, je me suis toujours bien entendu avec elles, et là, même à distance le courant passe.Un jour j'ai compris mais il y a déjà une bonne dizaine d'année que si je voulais construire une bonne relation avec une femme , il ne fallait pas chercher à la développée vers quelque chose de plus intime, parce qu’après si ça tourne mal, je perd une amie, bien-entendu, c'est plus difficile si cette femme est attirante! Mais dans l'ensemble, je me sens mieux avec les femmes qu'avec les hommes enfin en général,bien entendu, j'ai de bons potes, mais la relation est plus franche avec les femmes, elles se livrent plus facilement, c'est plus sain.Tu peux lire les commentaires , et tu comprendra le lien qui nous unis , entre l'auteur et ces lecteurs (trices)alors si je te compte comme nouvelle lectrice, je suis heureux, en plus de cela, une auteure, tu penses bien , on pourra échanger plein de choses. Bon je suis un bavard, pardon, je te laisse, heureusement que tu n'as pas que des commentaires comme le mien, tu n'en finirais pas de lire. MERCI

Je vais pas te le faire à la "mère Denis" A ça s'est vlais ça! Avec son joli accent breton, mais tu n'étais pas née à l'époque des laves vaisselles "VEDETTE"Bien sur qu'il s'aiment toujours autant qu'à leur début ces deux là, même si d'Emery est au milieu de la cinquantaine et que Martha aborde le début de cette décennie. C'est ça l'amour, tout faire pour plaire à l'autre pour le satisfaire, bien-entendu il faut que se soit réciproque car dans le cas contraire celui qui donne devient servile, ma grand mère dirait avec son accent Provençal " C'est un couillooonnn" ou "Regarde moi-le celui là, on dirait le ravis de la crèche" un benêt! Un fada quoi. Moi j'aimais bien écouter les vieux parlaient, ils me faisaient toujours rire, la langue provençale me faisait rire, va-donc savoir.Et puis, je pensais que je n'avais pas d'accent, que c'était les autres qui en avait-un! Et puis en fac et ensuite au service militaire que ne m'a-t-on pas fait remarquer cet accent que j'avais tant aimé et dont j'eu presque honte plus tard. Même le médecin de la famille ne parlait plus "Français!" Bonjour madame G alors qu'est-ce qui ne va pas? Tiens! J'ai vu madame Baccalla, elle va pas bien , elle est toute escagassée! Non qu'est ce que vous me dite là dorteur. Bein c'est comme je vous le dis! Je te jure que je riais constamment. Mais pourquoi il ris Jean Marc? Ne faite pas entention dorteur depuis qu'il fait des études il est devenu complètement Chème ce petit. Deux choses, depuis qu'ils ne sont plus là et que je reste avec mes fantômes du passé,qui me touche. Une scène dans "César" Version longue dans laquelle il a une discutions avec son petit fils qui est "à Polytechnique" Et là je vois mon père qui a toute la science de la vie mais pas assez de vocabulaire pour le dire avec moi qui croit tout savoir mais qui ne sais rien en tous les cas qui a oublié le respect et l'égard que l'on doit à ses aînés. Raimu lui dit "Les études t'ont instruit mais ont asséché ton cœur" ou encore, "C'est bien il fait de l'esprit parce que on lui a donné de l'instruction" ou encore "Tolérance, tolérance! Maison de tolérance! Ah Marius si je ne me retenais pas...mais non Papi tolérance signifie avoir de l’égard, de l'indulgence, être large d'esprit! Sur ce, tu mets ton fils à la porte je pense que c'est une réaction stupide.. Oh oui bien sur moques-toi, moi j'ai pas eu la chance de faire des études comme toi, moi à 14 ans je travaillais avec mon père! Et à coup de pied au cul! Eh bien ce sont tous ces échanges qui ont également ponctué ma vie avec mes parents, mes grands-parents et mes oncles, tantes, cousins et cousines. Fernandel chante une chanson "Je ne sais pas pourquoi" les gens riaient, riaient lorsque je parlais, dans une émission de la fin des années 60 chez Guy Lux devant Un large public parisien en présence aussi de mon ami Henri Verneuil. Ils venaient de terminer le tournage de "La vache et le prisonnier" avec Marguerite! Pour l'anecdote (je t’échange tes maladies vénériennes contre ma vache)lorsque Fernandel appris qu'elle allait passer à l'abattoir,il intervint pour la sauver et de ce fait elle termina paisiblement son existence dans un pré. Au revoir mon "Hali" A bientôt, tu ne m'as toujours pas répondu pour la couverture d'Elisabeth de Beaupond, je souhaitais juste ton avis, mais tu dois être très occupée, je sais, t’inquiète pas.

Le Narcisse Noir de Caron date de 1911, son effluve est basé sur de l'orange, de la rose et du jasmin, les odeurs de cette époque à la mode. Pour ton passage à vide, c'est bien si tu n'es pas seule, un peu comme cette amie qui habite à proximité de chez moi et qui traverse un mauvais moment, alors c'est bien pour elle que je sois là pour l'écouter ou un autre, je ne suis pas le centre du monde mais l'important c'est qu'il y ai quelqu'un pour l'écouter. Si mes écrits t'aident un peu j'en suis heureux, vraiment, même si ça ne remplace pas la chaleur humaine. Moi tu sais j'ai eu des moments ou je pensais que j'avais raté ma vie ou que je m'étais raté , je doutais de moi, j'étais en colère contre moi, je doutais de la vie. On est tous passé des moments comme celui là. C'est là, à ce moment précis que l'on a besoin d'un soutien, d'amis, d'un frère, d'une sœur, d'un père ou d'une mère pour nous rassurer, nous réconforter. Enfin je te parle de mes moments difficiles en confidence pourtant on ne se connait pas vraiment. Je te parle en confiance. Tu sais, j'écris justement pour emmené mon lecteur ailleurs, alors si j'y parviens quelque peu même avec une seule personne, alors c'est un beau cadeau que tu me fais lorsque tu me dis que je t'aide à t'évader, tu voyage dans mes rêves, dans mon esprit. Je voulais te demander quelque chose, sur le concours voisin, un petit concours en dix chapitres sur le thème "parlez de votre vie" j'ai lu un récit pas trop mal écrit au demeurant qui s'intitule "Dans une autre vie" D'Angie Rose. Cette jeune femme raconte la rencontre d'un homme par internet qui durera quatre mois et sept rencontres. Ce type est un pervers-narcissique manipulateur, l'auteure relate son aventure en terme peu élogieux mais sur mes commentaires prend du coup sa défense. J'aimerai avoir l'avis d'une femme mure et équilibrée, ces chapitres sont courts, jettes-y un oeil s'il te plais ainsi que sur mes commentaires et ses réponses si tu veux bien. Rassure-moi, c'est moi qui ne comprends plus les codes relationnels hommes-femmes ou je demeure encore dans la vérité. Bon je viens encore de te faire une tartine, quel bavard, pardon, je te laisse, je retourne chez les Anachorètes. Bonne soirée et la pêche Crispie Jolie😂🤣😋🙄😏😛🙃😝😜🤑😬🥶😱🥺Là, je fais le clown pour te faire rire.

Cette attente, ce contact entre eux tout en délicatesse, tu donnes à cet homme une telle douceur que l'on pourrait attribuer à une femme, ressentir un parfum qui a une si grande finesse, pour moi qui aime les parfums de Caron j'en identifie l'odeur immédiatement, et puis si tu ne le sais pas (mais tu dois le savoir) c'est un parfum qui est né de son parfumeur dans les années trente, mes années d'amour que je connais bien...Lui, il dévoile ce qu'il ressent dans ce parfum en voyant sa femme de par sa beauté et son tempérament, c'est si romantique, émouvant cette partie de ton texte. Et ce débat si "couple" finalement, du "non, non" à un oui doux et compréhensif. Je suis si touchée par ces espaces que tu créés d'une telle sensibilité. Cette maison vide auquel tu attaches toutes les attentes de Raoul pour Eva et en parallèle tout ce que Martha ne veut pas changer que je vois comme une peur, celle de souffrir, encore...Très beau...Et tu finis en beauté avec un clin d'œil humour sur ces "amis" qui ont envie de les retrouver, les voir refaire ces soirées qui ornaient leur vie avant...avant cette guerre et cette pointe de jalousie qui me fait sourire, c'est si tendre et fort de leur amour. Tu excelles dans le sentiment avec toujours ta plume légère qui sait nous transmettre les moments graves ou tendres avec une si belle douceur, un côté que l'on attribuerait encore à une femme mais ne dit-on pas que les hommes ont une part féminine qui se dévoile dans des gestes moments anodins, ne serais-tu pas un peu ce Raoul, fort, intègre et attentionné ? A force de te lire j'en serais presque convaincue. Bonne suite à toi et tellement un mot du cœur pour continuer d'écrire et partager surtout avec chacun de nous qui te suivons avec fidélité, vous êtes si peu alors sous ton texte je vous rends hommage. 👍👏😊😇

Que veux-tu, on donne toujours un peu de sois à chaque personnage que l'on créé, on est un peu de chacun comme ses enfants, je les aime mes personnages, parfois ils m'évoquent aussi des personnes que j'ai connu et que j'ai bien-aimé. Blanchard par exemple, ce type, il existe, son physique et sa personnalité, qu'est ce que je l'ai aimé ce gars, il m'attendrissais à chacun de ces délires, il y avait chez cet homme une tendresse, une gentillesse , une bonhomie, il n'avait pas eu de parents et pourtant il n'en parlais jamais, ce type serait allé jusqu'au bout du monde avec moi. Bon comme je l’écrivais à CrispieJolie, mon plaisir, mon bonheur, c'est de vous emmener avec moi dans mes aventures, dans mes rêves.Dans mes fantasmes, parfois dans l'épouvante avec mes folies