Toujours du haut vol dans le domaine de l'émotions qui m'est si chère, le rôle d'une infirmière qui a toujours ou devrait avoir cette forme d'empathie. Des derniers mots d'une soirée, de bonne humeur, les souvenirs d'enfants qui rappellent combien dans le cœur qui vieillit, l'enfant se débat et donne aux battement la vigueur de tout ce que nous voudrions encore faire, en vain, s'adapter pour quoi, quand un boire un petit coup et/ou prendre, voler le sourire d'un instant qui se dirige vers nous, fait à notre âme le bien fou de ces folies comme une envolée de papillons qui nous donne des frissons et laisse le miroir de la réalité quelques instants derrière nous, il nous rattrape si vite...Comme dit d'Emery c'est un corps entier qui a mérité les honneurs, une armée entière sous leurs honneurs, et ce bonheur de quelques heures a donné à leurs yeux, un instant les joies de l'innocence...Merci pour ce chapitre, ce soir je ne sais pas pourquoi, mais je mes sens un peu triste alors ton texte y est pour quelque chose mêlé avec une chanson d'Aznavour qui est en train de glisser sur ma peau avec les larmes aux yeux..."...c'est comme un jour ça s'en va d'une infini tendresse, d'une infini caresse,...nous n'avons pu retenir que des lambeaux de bonheur, s'il n'y a plus d'avenir, il nous reste des souvenirs..."...Cette merveilleuse chanson d'amour je peux l'accrocher à chacun de ces hommes et moi cela met du spleen dans ma soirée. Bonne suite à toi et continue de nous ravir de ton écrit bouleversant qui sait garder tant de douceur malgré tout et la dignité de ces compagnons d'armes.👏👏👏👏👏👏👏👏

Oui, l'amour c'est comme un jour, ça s'en va l'amour, ça s'en va. C'est comme un jour, c'est fait d'une infinie tristesse, d'une infinie tendresse.Mais si tu lis mon texte tout en écoutant De l'Aznavour.

une mélancolie dédoublée parce que c'est la nuit ; pas un instant il n'oublie les autres ; et les dernières lignes si évocatrices...

Sans doute réalise'-t-il de l'ironie de l'existence. Celle qui passe tour à tour d'un instant agréable à un instant de désespoir, comme si que le destin lui faisais parfois une grimace. les faits tragiques qui touchent les hommes sont laids, laids comme des grimaces.

La petite pointe de bonheur avant la mauvaise nouvelle. Puis cette élan de tendresse venue de l'infirmière, j'adore vraiment ce tableau, plein de nuances et de douceur. Tu n'est pas écrivain, mais peintre mon ami, chaque chapitre est un tableau, de maître, de la première guerre mondiale. Me concernant, je n'aime pas me faire de la pub ou me mettre en avant ^^, mais merci pour le coup de pub, même si c'est un coup dans l'eau 😉.

Merci pour ton commentaire, nous sommes pareils , nous n'aimons pas nous mètre en avant mais quand c'est nécessaire? Pour l'image du peintre, oui, je suis assez d'accord avec toi, je m'associerai plus volontier à un peintre qu'à un écrivain.Bonne nuit mon chers confrére écrivain.

Que veux-tu, on en vient aux grandes discutions philosophiques! Faut-il apprécier "La tête dure aux fesses molles?" ou se coltiner le contraire?😁😂🤣 Parce que je les connais moi, les belles qui font rêver avec rien dans le coaltar et tout miser dans la fesse.Je peux t'en parler j'ai miser dedans pendant toute ma prime-jeunesse! Fréquenter des boutonneuses à lunettes cultivées (faussement cultivées) j'ai subi aussi. Faut dire qu'à mon époque, arrivé au BAC la jeune personne pouvait te réciter du Sartre, du Yourcenar ou du Duras d'ailleurs🤐😤😬 (Elles avaient le même prénom) sans cligner de l'oeil un seul instant! Ah! Je les connais les mémoires d'Hadrien!Et sans fautes! Justement en conservant bien ces mémoires là.J'ai eu aussi les super-cérébraux qui débitaient milles mots à la minute telle une mitrailleuse Maxim à qui voulait bien l'écouter, celui là ou celle-là, échouaient immanquablement dans le membre actif au syndicat des étudiants! Que veux-tu, on ne pouvait pas toujours prendre "les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" Alors j'avoue, oui, j'avoue humblement en me confiant à toi, qu'il m'arrivait de vouloir prendre des vacances, à savoir choisir "des fesses dures à la tête molle". La fille de cet aquabi que veux-tu, ça fait dans l'art visuel et la gymnastique, genre Kamasutra et ça contrarie jamais! Mais je te comprends aussi avec tes potes version extra-terrestres mou du cervelet. Comme tu le faisait remarquer si justement, les valeurs se perdent, aujourd'hui on serait plutôt diplômé d'une formation sans culture, le vide quoi. Il faut le reconnaître, il t'arrivera fréquemment de voir arriver autour de toi de nouveaux postulants dans la connerie humaine, c'est même là qu'il y en a le plus. Toi tu laisseras faire, jamais pressée de prendre la place! Tu penses! Tu les observeras, les têtes dures aux fesses molles, tout bouffis de savoir! 🤬Orgueilleux de tant de certitudes, ah! Tu n'as pas finis de bailler d'ennuis en leur présence!🥱😴 Tu te diras "Putain quel culot!" Mais tu te rappellera de JMNG qui t'avait dit, "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait" Voila, j'ai été heureux d'avoir cette conversation avec toi, ça m'a rajeunit, pour un peu je me serais vu sur les bancs de la fac avec toi se boudiner de rire( si si ça se dit)à ne plus pouvoir s’arrêter. Yaurait alors intérêt d'être allé pisser avant au cas où, tu comprends? Au cas où. Parce que là aussi, je les ai connue moi les incontinentes bousculées par quelques rasades comiques de ma part! Je te souhaite une bonne nuit, bien qu'elle soit déjà bien entamée.J'aime bien la métaphore sur la Vierge. Pour te lire c'est comme c'était sur les bancs de l'école, 😁😂😃je vais me soulager avant, au cas où, c'est comme le coup du billet de train, il faut toujours en avoir un "Au cas où" Tu me diras je vois pas le rapport, et je te répondrais "justement ya n'a pas"hihihi. Pour terminer je te dirais;" mademoiselle de cette conversation agréable jusqu'au subtil, J'ai été charmé, positivement charmé"Te demande plus le film de référence! Tu vas encore me le sortir. Finalement les personnes cultivées sont parfois décourageantes. 😉😏