Jean-Marc-Nicolas.G Lettres à Éva Adieu Éva.

Adieu Éva.

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28 commentaires

Helen Mary Sands

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Il y a 5 ans

Le deuxième paragraphe (Au petit matin...) en entier : de la pure poésie !

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 5 ans

Ce qu'il y a de pire, lorsque l'on est mort ce dont j'ai le plus peur, c'est que l'on nous oublie, c'est que l'on m'oublie, pour toujours, là est la vrais mort. C'est la mort qui meurt. C'est l'oublie, le détachement des autres, comme l'image de ceux qui de détachent comme du sable dans le vent.

HaliBerrah

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Il y a 5 ans

Ma mère en serait capable😰🥵🤬😡mais la Hali dira rien🤡Oui oui oui Oui oui oui de puis que je te lis mouchoirs sont mes amis🤪Comme faisait Élisabeth la recluse, ne ries pas trop que dans la rime je t'uses 😋Tu sais pas mais je dors là😴

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 5 ans

C'est doucement qu'Elle s'approche, sans bruits,dans la pénombre de sa chambre, C'est lentement qu'Elisabeth s'accroche,dans l'angle du mur où il y a Hali, C'est tendrement qu'Elle glisse sur les murs comme une ronce et se cambre, C'est souplement en une dernière présence qu'Elle donne un baiser froid dans la nuit.😁😨😰😱🥶🤬🤬

Rose Lb

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Il y a 5 ans

et je crois qu'un nouveau et débloqué, trop bien!!!! même si je t'en veux...

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 5 ans

Au 15é chapitre tu vas comprendre ou je veux en venir, ce sont les souffrances des hommes qui leur font prendre des décisions un peu folles mais tellement humaines.

HaliBerrah

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Il y a 5 ans

Franchement je kiffe, je sais je devrais chialer mais je peux pas, tu as le chic pour me faire rire quand c'est à pleurer, j'ai pas toujours dit ça 😎rassure-toi je suis prudente là sous ma couette je t'ai lu avec boîte carton remplie de mouchoirs😁N'empêche que c'est franchement émouvant ce carnet, je deviens gaga voilà ti pas que je m'attache au carnet, je suis le carnet😛Je sors de mes révisions alors tu vas croire que j'ai perdu une case, non retiens toi commence pas à rire, tes histoires sont toujours attachantes mais je crois que je suis au taquet du sérieux donc me détendre avec ma lecture me fait prendre un certain recul aussi ce soir j'ai dit à ma mère je vais lire Verdun avec un sourire niais, résultat une grande leçon sur la cruauté de cette guerre soit une heure à faire son monologue qui m'a fait perdre le fun🤐 et miracle allongée le pc sur les jambes ma niaiserie est revenue aux premières lignes, je suis irrécupérable😵🥴Pour revenir au sérieux, tu maintiens le stress de ces hommes et un air de peur que je ressens bien malgré ce que je viens de t'écrire, pardon j'avais envie de détendre. Et pour la suite j'ai un peu la tête vide alors je vais compter sur toi pour me surprendre et faire de ma prochaine lecture un moment agréable comme ce soir où je relâche pression. Je te dis au prochain😉Jeee suiiiisssss llleeeee carrrnnnneeettttt😂😂

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 5 ans

😁😀😂🤣🤣😃😄😅😆🤩😭😭🤓je pourrai dire sans commentaires car il est difficile d'écrire et de rire, je n'arrive jamais à conserver mon sérieux avec toi.Le pire pour moi, ce serai que ta mère y jette un coup d’œil et t'interdise formellement de continuer de lire ce récit pour apologie à la dérision des événements dramatiques.Mais te connaissant un petit peu, je sais que tu vas aimer la suite, disons à partir du 15é chapitre, je te laisse juge et tu me dirasaaaaaaaaaaaaa 🙄😕🙃🤒🥳🤡🤭. As tu toujours la boite de kleenex qui t'accompagne habituellement hihihi

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 5 ans

oui c'est un peu lent, bien que mes lecteurs se soient finalement (pas tous) réveillés. J'aurai cru que justement compte tenu du confinement, les personnes auraient eux plus de temps, mais non. C'est une periode curieuse, j’espère que lorsque je vais reprendre mes activités, ça ne va pas être identique. J'ai compris le (je) e suis désolé, e ferais mieux la prochaine fois.E vais me mettre un film, ai Netflix depuis peu, e me dévore deux voir trois films par après-midi.E suis heureux🤪😵🥴

Sand Canavaggia

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Il y a 5 ans

Toujours un texte qui bouscule et qui je pense est tellement fort de vérité, que l'on ne sait pas bien où sont nos repères, perdus dans les tranchées, tu fais un shaker d'émotions, entre la peur, l'amour qui prend une autre tournure, je te dirais bien que ce d'Emery qui a perdu sa fille va trouver en ces écrits quelque chose qu'il n'a pas su retenir avant qu'elle meure, tu sais l'amour prend bien des postures dans une vie, quand on a pas su retenir un être ou lui dire avant qu'il ne parte, je pense que la conscience nous pousse pour permettre le deuil à une forme de transfert, est-ce que, moi que tu as perdu dans la dureté des tranchées, et des peines de ces hommes, tu n'auras pas prévu un lien, des actes particuliers de cet aristocrate au cœur, qu'il croyait mort, une forme d'éveil, une forme d'acte fou dans la douleur de ce climat de guerre vers ce carnet qui finalement transpire l'amour et l'espoir, c'est la seule chose qui manque dans ces tranchées au profit bien sûr de cette camaraderie que tu décris très bien mais pour ce père qui s'en veut le manque est ailleurs la souffrance est forte dans un endroit où Verdun n'est finalement que le reflet de son âme...Je ne sais si mon intuition est bonne mais comme je sais que le point final de ton écrit ne peut se trouver là, mes neurones marchent dans tous les sens avec mon habituelles positivité alors j'essaie de trouver dans cette horreur ce que tu peux voir de beauté pour continuer à nous emporter, car c'est un peu ta patte d'écriture le bougie au fond d'un tunnel noir d'encre. Je relève quand même pour ceux qui comme moi connaissent tes textes Fyctia, le clin d'œil à Elisabeth de Beaupond et son amour Hugo, c'est magistral, bravo👏👏👏 Bonne continuation à toi et un grand merci de ces pages.😊😉👌