le passage sur la langue française est mon paragraphe préféré, c'est drôle..Très philosophique ce chapitre mine de rien, les rapports humains nous poussent à se dépasser

Oui, une histoire simple d'hommes simples dans le tourment de l'histoire mondialement connue.Les hommes échangent comme n'importe où et à n'importe quelle periode. A voir "Weekend à Zuydcoot" un film de Henri Verneuil, l'histoire de quelques soldats français dans la tourmente de l'invasion de la France repoussés sur les plages de Dunkerque et qui tentent de s’échapper de la fatale captivité. Les dialogues sont criants de vérité.

En mon sens, et je peux me tromper, mais la vie ne m'a apporté que ce que je sais, nous existons que si les autres nous regarde, sinon, nous ne sommes que des ombres.

Bravo à toi d'écrire un tel récit. Elle me prends aux tripes, je ne sais quoi dire à part qu'elle est géniale et si bien écrite. J'imagine très bien l'endroit où ils sont et dans quel enfer ils vivent et ce petit bonhomme sur la fin: 17 ans et près se sacrifier... Continue, je veux la suite.

Le petit Ricet? Ce garçon s'est sacrifié pour plaire à son père, pour lui montré qu'il n'est pas un bon à rien comme il le lui a si souvent dit et puis pour sauver son frère et sa belle sœur ainsi que ses neveux. Il a voulu protégé cette petite famille pour laquelle il a tant d'amour. Petit garçon avalé par l'enfer de Verdun d'où beaucoup ne reviendront pas. Merci de me lire.

Chhhuuuut! Arrêtez la fanfare 🎺📯 bon sang! Mais non elle n'a pas dit de mettre la fanfare bandes d'abrutis, c'est une manière de parler, une métaphore si vous préférez. La petite dort, elle a bossé presque toute la nuit alors on la laisse tranquille, allez, sortez tous de la chambre, allez oust! Non toi non plus tu ne peux pas rester là confinée dans un angle du plafond, tu vas lui faire peur Elisabeth, non elle ne t'a pas oubliée, allez oust va rejoindre ton Hugo. De quoi? De faire dire à sa maman de rentrer chez Fyctia pour aller voir le concours "Histoire"? Tu veux rire? Ah! C'est pour qu'elle rit justement, à ça, pour sûr il y a de quoi rire ou pleurer?🎶🎶😁😆🤣😂😒🤔🕯

Le chapitre qui me soulève quand même des questions, Ricet va partir mais il y a des risques, il se jette avec la fougue de son jeune âge et le lieutenant à la fin qui lui donne force en lui disant tout ce courage qui lui a fallu pour prendre la place de son frère, ces hommes qui commencent à se compter c'est touchant parce qu'au travers de cette "comptabilité" c'est tous ces corps laissés derrière leur course folle à la vie que je vois et tu ne manques pas la note d'humour avec ce français moins bien parlé où tu fais remonter l'information d'un de tes chapitres sur des hommes de milieux différents qui sous le coup d'une guerre se sont retrouvés là. Un très beau chapitre avec des mots simples qui projettent de suite dans chaque situation et qui par la force des choses touchent même si on a pas été présent à ce moment là, des reflux de l'histoire de nos grands-pères remontent forcément comme des blessures que l'on a vécues par transfert d'histoire. Merci de ce partage, bonne continuation à toi.😉✨

Coucou Ma Sand, toujours aussi prolixe dans tes commentaires, mais aujourd'hui je n'ai pas envie de garder mon sérieux, de rester entre quatre murs même avec un tapis roulant ne ma suffit plus pour m’empêcher de bouillir! J'ai écris la suite bien entendu, une dizaine de chapitres déjà mais si vous, vous ne connaissaient pas encore la suite des événements, moi je la connait et je viens de m'en extraire à l'instant juste avant d'écrire à Perrine, autant te dire que c'est comme si j'avais sortis la tête d'un bocal plein d'eau. Tu sais combien je vis mes histoires, elles me prennent, se saisissent de moi et...donc j'ai besoin de respirer et même parfois de crier mais je te rassure je suis normalement équilibré😁😂😉😖😨🥶😵🥴🤓😶.