Fyctia
Une nuit de délectation.
— « Pierre, je crois que je suis malade ! Quelque-chose ne passe pas ! Je vais vomir. »
Elle détale comme un lapin pour courir vers les WC toilettes du rez de chaussée, de l’autre côté de la maison, je peux encore l’entendre vomir. Je distingue comme un râle teinté de spasmes convulsifs. La pauvre doit déguster !
Je demeure planté là sur le seuil du grand salon. Je ne sais pas trop quoi faire, dois-je rester discret ? Ou dois-je lui porter assistance ? Je me décide à parcourir le long couloir agrémenté de toiles de Maîtres et de meubles vitrés dans lesquels trônent à profusion, médailles, objets divers de tous les pays du monde et autres curiosités.
— « Carole, ça va ? Tu as besoin de quelque-chose ? Carole ? «
— « Oui Pierre, ça va mieux maintenant, accorde-moi un instant. Je vais me prendre une douche bien chaude. «
— « Très bien, je t’attends au salon «
Au bout d’une demi-heure, Carole arrive dans un pyjama de soie, s’assoit tout près et pose sa tête sur mon épaule, elle se blottit contre moi, comme une chatte. Sans un mot, nous regardons un reportage sur les Iles Vierges. Elle fait un commentaire sur la beauté du site. Elle s’endort.
Vers vingt-deux heures, le sommeil me gagne, je secoue doucement Carole et lui parle à voix basse.
— « Carole ! Il faut aller se coucher maintenant, il est tard ! «
Elle baragouine quelque-chose que je ne comprends pas, elle se lève toute endormie, me prend par la main et me traîne vers sa chambre au premier étage. Elle s’écroule sur son lit et me dit :
— « Viens te coucher à côté de moi. Bonne nuit mon Pierre, à demain. »
Je me déshabille puis je vais prendre une douche dans la salle d’eau qui est contiguë et je reviens en caleçon. Je relève le drap, je me couche, m’enfournant dans le lit et Carole se retourne vers moi, me recouvre de sa jambe, de son bras.
Je sens ses cheveux, son odeur, je suis heureux même si nôtre première nuit est tout de même originale ! Je m’endors profondément.
Dans la nuit, je rêve ou je crois rêver, je sens courir le long de mon pénis une forme de courant électrique. Tout semble si vrai que cela finit par me réveiller !
Il fait nuit, je perçois à peine les murs et le plafond de la chambre, je regrette beaucoup que ce rêve se soit interrompu ! Il était si agréable...
Mais alors que j’y pense avec encore un peu de regrets, l’impression délicieuse me reprend de plus belle, c’est comme une vibration exquise et indéfinissable qui parcourt de nouveau mon pénis de sa base jusqu’au gland.
Je sens également des sensations d’attouchements comme des petits doigts appuyant tour à tour délicatement sur mon sexe, un peu comme le ferait un joueur de flûte. Puis le courant s’intensifie au point de cambrer mes reins, le va et vient se frotte à mon organe que je sens grossir.
Puis des picotements s’ajoutent aux autres sensations comme des centaines de petites aiguilles taquinant mon gland, mon pénis se durcit encore, il se gorge de sang. Ça y est, encore un spasme ! Et ce va et vient intérieur qui provoque de plus en plus intensément ma verge à la limite de la douleur, je bande honteusement.
C’est une queue énorme qui n’avait encore jamais atteinte une telle taille ! J’éprouve à la fois un délice coupable et de la douleur. Mais quelle douleur ? Ce machin qui bat la chamade au rythme de mon cœur me semble étranger.
Je réalise ce qui m’arrive, tout de même Carole est une sacrée coquine. Elle a même un sacré culot ! Mais j’adore ! Et puis j’aime être surpris. Mes bras en croix resserrant les draps, pendant que mon sexe est pénétré par quelque-chose de moelleux, de chaud et d’humide qui l’enveloppe.
Les picotements sur mon gland augmentent, les spasmes de bonheur dans ce mouvement profond s’accélèrent, des vagues de frissons remontent jusqu’à ma tête, mes jambes et mes pieds se raidissent en avant, le courant de plaisir devient toujours plus intense dans ma verge.
Je me rends compte de mon état d’excitation, je ne peux réprimer mes râles. Qu’est-ce que ces sensations ? Sans doute Carole utilise-t-elle ces objets qui parcourent les organes génitaux d’un courant ! Jamais de ma vie je n’ai connu une telle extase !
Mon pénis en érection est prêt à éclater, sa chair tendue à l’extrême et le corps caverneux gonflé à l’intérieur, ce qui me permet de mieux ressentir les parois glissantes et humides du vagin de Carole qui semble s’être resserré.
Les premières décharges spasmodiques précédant juste l’éjaculation saisissent ce dard avant qu’il éjecte son fluide, je sens mes testicules se rétrécir, une forme de délice envahit tout mon corps, tout mon esprit perd pied, je ne contrôle plus rien, je chute dans un gouffre sans fond.
Je suis envahi par un bien être, à la frontière de la douleur et de la félicité, je dois me soulager, c’est ma délectation. Le premier jet sort puissamment, suivi immédiatement d’un second jet aussi puissant. Mon Dieu que c’est bon !
Je sens ma semence chaude s’étaler sur mon ventre ! Mon orgasme est un moment de volupté absolue. Aussi violent, le troisième jet se projette avec tout autant d’ardeur. Les saccades de mon éjaculation raidissent à chaque fois tout mon corps, je n’ai jamais eu de ma vie un plaisir aussi fort, une éjaculation aussi puissante et longue !
Le poids des testicules gorgées de sperme qui me torturaient juste à l’instant disparaît au fur et à mesure que mon sexe évacue le contenant de mes bourses. Le liquide continue à s’étaler par le quatrième jet puis les suivants se succèdent à un rythme soutenu pour cesser subitement. Les spasmes de ma verge continuent encore un peu mais je n’ai plus rien à donner.
Je me sens enfin soulager de cette tension qui avait gonflé mon organe reproducteur jusqu’à la douleur !
Au bout d’une minute d’émerveillement, à fixer le plafond, je m’aperçois tout à coup que Carole est au bout du grand lit en train de ronfler.
Mais alors qui ?? Qui me tripote, me suce goulûment depuis plus d’une demi-heure ??
Dans la pénombre, je vois le drap se relever et former une bosse, je suis pris d’une peur panique, je me recule subitement vers la tête de lit. Je cherche hâtivement l’interrupteur mural en tâtonnant de ma main, j’ai le doigt dessus, j’appuie puis je tire le drap qui forme une bosse.
A la lumière la vérité se révèle.
Ma frayeur m’étreint à la gorge, je n’arrive pas à sortir un mot ! Ma respiration est rapide, je suffoque, c’est Guerda !
Appuyée sur ses genoux, son mignon petit visage de forme triangulaire, penché sur le côté, ses lèvres bien dessinées, entrouvertes et ses longs cheveux noirs tombent sur les épaules. Elle caresse ses petits seins en pinçant ses tétons.
11 commentaires
Leoden
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Il y a 6 ans
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 6 ans
Sand Canavaggia
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Il y a 6 ans
Lollly
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Il y a 6 ans
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 6 ans