Fyctia
Le lac - scène explicite
Ses mains chaudes, immenses m'explorent et il parsème mon cou, ma bouche de ses baisers. Je me laisse envahir par les sensations.
J'ai le cœur qui bat fort et beaucoup de trac mais j'ai décidé de profiter de ce moment. Quelles que soient les conséquences, je veux juste me laisser porter par les vagues de plaisir qu'il fait naître sous ma peau.
Il me soulève et j'enserre sa taille de mes jambes. Ses mains font glisser les bretelles de ma robe.
De sa main droite, il déboutonne un petit bouton dans le décolleté de ma robe et sa main glisse pour s'emparer d'un de mes seins. Ses doigts trouvent rapidement mon téton qui s'est dressé de désir. Il le fait rouler entre ses doigts. Je me cambre.
Un son rauque sors de sa gorge, il ouvre alors brutalement la robe libérant ma poitrine.
Sa langue me parcours. Je voudrai le sentir toujours plus contre moi, il remonte sa main le long de mes cuisses et se saisit de mes fesses pour me plaquer contre lui. Nos bouches se rejoignent dans un baiser enfiévré.
Je recule pour pouvoir glisser mes mains sous son t-shirt et le soulever. Je découvre la ligne de poils sombres qui remonte depuis son short. Ses abdominaux et le v qui se révèlent me subjuguent. Mes doigts parcourent son ventre, caressant les bosses et les dénivelés. Je remonte mes mains à la découverte de son torse et je mords les lèvres à mesure que je progresse. Nos regards se croisent. Il retire brusquement son t-shirt et ses bras m'emprisonnent aussitôt. Sa bouche me dévore. Je gémis de plus en plus. Il fait tomber son short et je découvre la bosse dressée et droite à travers le tissus et je comprends que mes prévisions étaient tout à fait fondées. Il est gigantesque.
Une vague de désir mêlée d’inquiétude me submerge au moment où il m’allonge sur son lit. Mais je chasse cette vilaine pensée et profite de la chaleur de ses baisers. Il maintien mes mains au dessus de ma tête. Il m’empeche de lui en voler d'autres.
— Tu es sure de ce que tu veux Lila ?
— Anton, arrête de me torturer ! Oui je te veux !
Je le supplie. Il m'embrasse alors, me mordille la lèvre du bas, descends le long de ma mâchoire. Ses mains me maintiennent toujours, je ne peux le caresser. Sa bouche aspire un de mes tétons, il le fait rouler avec sa langue. Je gémis de plus belle.
Il poursuit sa délicieuse descente, me faisant me cambrer sous les brûlures de sa bouche. Il lâche enfin mes mains pour retirer délicatement ma culotte. Il admire mon ventre. Je sens son souffle chaud chatouiller mon sexe qui se contracte à chaque fois. Ses mains caressent mes hanches, mon ventre, descendent toujours plus bas, me laissant anticiper…
son pouce glisse alors doucement vers le bas. Je m'entrouvre laissant toute mon humidité se propager, il poursuit ses caresses expertes me faisant grimper immédiatement.
Je soulève les hanches pour aller à sa rencontre et ses doigts s'insèrent en moi. C'est si bon que mes soupirs se transforment en gémissements.
Je ne me retiens plus. Il m’entraîne vers la déferlante merveilleuse, celle-ci se déploie jusqu’à déferler en une myriade de gouttes scintillantes.
Alors que mon sexe pulse fort encore, et que je ne suis pas encore complètement apaisée, il l’embrasse et remonte vers moi, tout sourire.
J’ai les yeux pleins des étoiles du plaisir qu’il m’a offert et découvre que je le veux encore plus, je le veux lui, au fond de moi.
D’un mouvement de hanche je réussi à prendre position à califourchon sur lui. Je l’embrasse. Il me regarde avec des yeux pleins de désir me mouvoir sur lui, mes hanches s’animant avec lascivité contre son sexe. Je me penche sur le côté, ouvre un tiroir, à la recherche d'un préservatif. Il en profite pour gober un de mes seins alors que je suis penchée. Un gémissement s’échappe, de lui, de moi, je ne sais plus.
Je descends doucement de ses jambes, et le délivre de son caleçon. Son sexe est dressé face à moi. Ma bouche se pose aussitôt dessus. Je le picore de baisers. Ma main l'attrape et je l'aspire guidée par l’envie.
Il pousse un râle profond, puissant. Il me laisse prendre possession de son sexe jusqu’à devoir saisir ma tête entre ses mains pour se retirer. Il se saisit du préservatif que je gardais dans mes doigts, déchire l'enveloppe et l'enfile avant de venir me surplomber de nouveau.
Ses yeux sont dans les miens, nos doigts entrelacés.
Mes jambes s'entrouvrent doucement et je sens son sexe buter contre mon entrée.
Il ne bouge pas et maintien fermement sa position contre moi, attendant mon signal.
Je me cambre tout à coup, mue par un instinct primaire et il plonge en moi. Je dois basculer mes hanches pour l'accepter. Son sexe m'étire fort, très profondément, générant une sensation sourde qui remonte brute jusque dans mon dos. Nous fusionnons.
Il se retire me laissant dans l’expectative, une fraction de seconde, puis il reprends possession de moi en s’animant de mouvements lents et profonds.
Nous gémissons tous les deux, nous mouvant de concert.
la houle de ses pénétrations fait augmenter à chaque fois les vagues de plaisir qui laissent présager d’un déferlement encore plus complet.
Nous atteignons ensemble un orgasme libérateur magistral.
Essoufflés, repus, il m'embrasse victorieux.
Nous nous sourions quelques secondes profitant de ce joli moment, cette première fois...
Puis il embrasse un de mes tétons en se relevant rapidement.
Il attrape ses vêtements et les enfile en quelques secondes.
Et le voilà qui disparaît.
Je ne suis encore que sensations de plaisir et je me retrouve seule, troublée dans sa grande cabine aux draps blancs et aux placards designs. Je ne veux surtout pas réfléchir.
Je vois la surface du lac à travers le hublot et entends les clapotis de nouveau accélérer contre la coque.
Je me redresse, regarde mon corps qui vient de vivre d’exquises sensations.
J’enfile un bikini, blanc, triangle avec de la dentelle anglaise et remonte sur le pont pour le rejoindre.
Il fait encore très très chaud bien que le soleil soit plus bas.
Je lui fais un sourire en passant, il est magnifique derrière son gouvernail.
Je m'allonge sur le pont à l’avant, restant dressée sur mes coudes pour admirer le paysage.
Nous voguons en silence puis il change de cap pour nous rapprocher de la côte.
Apparaît alors une grande maison en bois blanche avec des tables dressées sur une grande terrasse.
Je me lève pour retrouver Anton. Sur la pointe des pieds, je lui chuchote,
— Je crois qu'il est temps que j'enlève ce maillot de bain...
Il déglutit aussitôt et tourne son visage vers moi, ses yeux sombres dans les miens. Mais je poursuis :
— ... pour quelque chose de plus convenable.
— Ne me tente pas Lila... je ne peux pas lâcher la barre ! Il faut que je gère la manœuvre pour accoster.
— ne la lâche pas alors...
Je lui dépose un baiser chatouilleux près de son oreille en gloussant doucement. Mon souffle dans son cou.
Et je redescends en souriant, très amusée de le rendre fou.
6 commentaires
KBrusop
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Il y a 3 ans
FleurDelatour
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Il y a 3 ans
ElsaBianchi
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Il y a 3 ans
FleurDelatour
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Il y a 3 ans