Fyctia
☏ 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐𝟓
𝘈𝘷𝘦𝘳𝘵𝘪𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 : 𝘤𝘦 𝘤𝘩𝘢𝘱𝘪𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦 𝘶𝘯 𝘭𝘢𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦 𝘨𝘳𝘰𝘴𝘴𝘪𝘦𝘳 𝘦𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘤è𝘯𝘦 𝘥𝘦 🔞. 𝘑𝘦 𝘷𝘰𝘪𝘭à 𝘱𝘳é𝘷𝘦𝘯𝘶.
𝐏𝐃𝐕 𝐈𝐧𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮
Demetrio sort de la salle sombre accompagné de ses deux sbires, naturellement je le suis jusqu'à la sortie du hangar.
De loin, il y a sa Lamborghini urus onyx qui est garé près d'un grand bâtiment vitré dont l'architecture est moderne et épuré. Je sors de ma contemplation lorsqu'il me fait un signe de la tête afin qu'il m'escorte jusqu'à un grand espace de travail où un magnifique bureau acajou trône au milieu de cette pièce dénué de vie. Éclairée par les grandes baies vitrés de l'édifice qui est la seule part de lumière qui s'infiltre dans ce lieu à l'aspect sinistre. Décidément, il apprécie particulièrement les couleurs sombres, ça se voit rien qu'à l'architecture de la bâtisse dont il a apporté une touche personnelle en terme de modernité. Il devrait penser à refaire la décoration, ça craint là.
En résumé, nous voilà tous les deux dans cette endroit ou monsieur travail en étroite collaboration avec moi bien évidement. Je l'ai aidé à concocter plusieurs plans afin qu'il puisse récupérer l'empire que son père à bâti de ses propres mains. Bien sur, ce n'est pas de gaieté de cœur que nous avons coopéré avec lui. En échange, nous deviendrons les premiers actionnaires du Groupe Alvarez, c'est mon frère qui sera heureux d'apprendre la nouvelle.
Hey oui, c'est compliqué d'être une femme dans le milieu des affaires, ainsi j'ai pu prouvé à Pedro que je suis capable d'être une alliée redoutable contrairement à la compagne de mon frangin qui ne sert strictement à rien. Je ne suis pas qu'une simple nymphomane en manque de sexe, à l'instar d'une certaine personne dont je ne citerai pas le prénom.
Je ne comprends pas cette pulsion qui à pousser Pedro a se mettre avec une p*** pareille ! Non mais sérieusement, cette meuf à coucher avec la terre entière qui ne la connais pas pour ces dérives légendaires qui à fait toutes les unes de la presse espagnole.
Il a vraiment de la merde à la place des yeux pour se mettre avec une poubelle à sperme comme elle ! Bon, je ne suis pas une sainte pour autant que je sache... J'ai eu également des aventures avec pas mal d'hommes dont la taille de l'engin n'était pas à remettre en question si vous voyez là ou je veux en venir..
Demetrio me sors de ma longue léthargie en embarrassant chaque parcelle de peau au niveau de ma mâchoire à ma clavicule faisant naitre en moi le désir de ne faire plus qu'un avec ce bellâtre. D'une voix rauque teinté de sensualité, il me susurre ceci à l'oreille :
- Hey chérie, ne faisons plus perdurer l'envie qui nous consume. Laisse moi te prendre là, dans mon bureau...Je souhaite t'entendre jouir mon nom jusqu'à l'aube ma belle sirène.
- Oh oui, mon chéri je n'attends que ça ! Me faire sauter par toi.
Juste après, nous nous adonnons au plaisir charnel de la chair jusqu'à la tomber de la nuit sombre marquant la fin de cette journée riche en rebondissement. Enlacer l'un contre l'autre, je trace de mon doigt chaque contour des muscles saillants de mon amant en me lovant un peu plus près de lui.
Demetrio est le seul homme qui ne ma jamais traiter de p*** ou de croqueuse de diamant à cause de mon addiction au sexe. Finalement, c'est moi qui lui plante un couteau dans le dos en acceptant de le charmer pour le bon vouloir de mon paternel.
Celui que j'aime me caresse doucement la taille d'une main tandis que de l'autre il effleure mon épaule de son pouce, accentuant mon désir charnelle. Sans plus attendre, je me mets à califourchon sur lui en me penchant délicatement près de son oreille en lui mordillant et en lui léchant le lobe de son oreille. Ce geste suffit à raviver son plaisir sexuelle à mon encontre et c'est ainsi que notre luxurieuse étreinte continua jusqu'à l'aube.
Au petit matin, j'enfile en deux temps trois mouvements, ma tenue de la veille en lui laissant un message sur son bureau en acajou ou on a eu un instant des plus intimes et des plus agréables.
En sortant de l'édifice, je reçois un appel de mon très cher frère... En quatre mots : ça sent le roussi ! Tant pis je décroche ensuite j'improviserai .
- Salut Pedro, je peux savoir pourquoi tu m'appelés à une heure pareille !
- Ouais Rita, arrête de faire la p*** et viens illico presto à la villa des Lopez ! On a un sérieux problème à régler.
- Parle bien je ne suis pas ta catin de fiancée !
- Hey, parle bien ou je te défonce conasse ! Rapplique quand je te dis de rappliquer- bip.
Le grand fdp, il ne perd rien pour attendre. Je vais lui faire sa fête à la maison ainsi qu'à son nymphomane qui lui sert de promise. Il ne sait pas à qui il s'adresse !
J'appelle mon chauffeur qui débarque rapidement à l'endroit convenu avec la jeep grise aux reflets métalliques de mon vieux qui me sert de paternelle. À la hâte, il me fait une rapide révérence avant de m'ouvrir la portière arrière de la jeep. Sans attendre un instant, je grimpe à l'arrière du véhicule dont les vitres sont teintés afin de préserver l'anonymat de notre prestigieuse famille. Juste après, le chauffeur démarre l'engin qui me ramène en trente minutes chez moi. Arrivée dans mon havre de paix, noté l'ironie. Je suis escorté par ce dernier jusqu'au salon ou mon père, ma mère et mon frère sont sagement assis sur le canapé en u beige de salon trois étoiles. J'en retire deux pour faute de gout..
Enfin bref, nous sommes tous réunis ici pour discuter de l'état critique de notre opération : détruire la famille Alvarez. Vous vous demandez surement pourquoi le leader national voudrait-il absolument éliminer la maigre concurrence ? La réponse à cette interrogation est la suivante : un meneur ne peut pas laisser à sa botte un adversaire qui risque de le détrôner tôt ou tard ! C'est pour cette raison qu'il faut évincer la concurrence le plus efficacement possible. Même si on doit recourir à un homicide volontaire en dissimulant les preuves de notre crime.
Un raclement de gorge attira mon attention sur la conversation qui s'en suivi :
- Eh bien Rita, tu n'as pas l'air emballé par le sujet de notre conversation ! Dois je te rappeler ton rôle dans cette histoire de la manière douce ou à la dure ?
- Désolé père, j'étais dans mes songes.
- Hum, jouer la p*** avec l'ainé de la famille Alvarez ne te donne pas un quelconque privilège au sein des Lopez ! Au même titre que Pedro, tu dois obéir aux moindres de mes ordres, me suis-je bien fait comprendre Rita.
- Oui père, j'ai retenue la leçon.
- Bien poursuivons, je veux que Livia, Juan et Demetrio meurent, est-ce clair pour vous deux ?
- Quoi !
- Mais père, je ne-
- C'est un ordre ! S'écria le patriarche à bout de nerfs.
- Oui père, acquiesçâmes Pedro et moi en parfaite symbiose.
Satisfait de notre soumission à son égard, notre paternelle continue de nous fournir les détails de son stratagème bien ficelé.
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