T_linda La Secrétaire Du Milliardaire ☏ 𝐏𝐑𝐎𝐋𝐎𝐆𝐔𝐄

☏ 𝐏𝐑𝐎𝐋𝐎𝐆𝐔𝐄


𝐉𝐮𝐚𝐧




Je suis un grand brun, possédant une carrure imposante, je mesure un mètre quatre-vingt, mes yeux d'un vert perçant hypnotise tous les regards.


Dans la presse, je suis perçu comme le Don Juan le plus désiré de son temps.


Les filles me tombent littéralement dessus, je suis un mec très convoité, à cause de mon incommensurable richesse.


J'ai établi à ce jour qu'une seule règle concernant les relations que j'entreprends avec les femmes...


Pas d'attache, pas de sentiments...


Chaque relation que j'ai avec une femme n'est que purement physique.


Elles savent à quoi s'en tenir avec moi.


Ni plus, ni moins, elles étaient toutes des croqueuses de diamants, et des opportunistes qui n'en veulent qu'à ma richesse.


C'est normal quand elles entendent le nom Alvarez, elles fondent instantanément...


Je suis le sex-symbole, le plus convoité qu'il soit !


Il y a de quoi, je suis magnifiquement bien bâti, aucune femme n'est en mesure de résister à mon charme fou.


Elles tombent littéralement dans mes bras, j'ai juste à sortir les liasses de billets et immédiatement elles sont à mes pieds.


Je suis Juan Alvarez, le milliardaire le plus désiré qu'il soit.


Ouais, je sais, j'entends déjà des phrases du style, qu'est-ce qu'il se l'a pète ou les chevilles ça va ?


Eh oui, je suis frais comme la braise, quant à mes chevilles, elles se portent à merveille. Je vous remercie pour votre sollicitude mes chères gazelles.


- JUAN ! S'exclame Pablo l'air inquiet.


Et merde, il ne manquait plus que lui !


Un blond aux yeux bleus de la même carrure que moi franchi le seuil de mon bureau, vêtu d'un costard formel gris, il s'agit de mon ami, Pablo un avocat qui représente mon entreprise au niveau juridique, il possède son propre cabinet d'avocats et travaille pour mon compte.


- JUAN ! T'ES OÙ ? Clame Pablo en rentrant dans mon bureau en me cherchant du regard.


- Je suis là, pas besoin d'alerter la terre entière, Pablo ! Dis-je agacé, assis sur mon fauteuil à roulettes en cuir.


- Je n'aviserais pas la terre entière si tu répondais, ne serait-ce qu'à mes appels, tes parents te cherchent depuis un bout de temps, ils ont une nouvelle à t'annoncer. Dit-il irrité par ma réaction.


- Non sans blague. Je sais ce qu'ils ont à me communiquer, c'est encore le sujet que je n'aime pas aborder avec eux. Je réplique d'un ton ironique mêlé à de l'agacement.


- Juan...soupire Pablo face à mon entêtement.


- Non Pablo, je n'épouserai personne et sûrement pas, une de ces femmes que mon père me présente à chaque occasion ou événement mondain, il a le chic de ramener avec lui des croqueuses de diamants, ou des opportunistes qui n'en veulent qu'à ma tune ! Je déclare les points serrés sur la table.


- Ouais, c'est sûr que les femmes qui nous tourne autour ne sont pas des saintes. Dit Pablo avec ironie.


Pablo Cruz, mon meilleur ami est le mec le plus posé que je connais. Il est l'exact opposé de moi. Très solitaire, il a entretenu très peu de relation avec les femmes pour la simple et bonne raison qu'il cherche une relation sérieuse sauf qu'il est blindé de tune. Il attire que des bimbos accro au sexe et des croqueuses de diamant qui veulent le dépouillé de son fric.


Depuis la trahison de sa copine Tania Sanchez. Il n'est plus lui-même.


Cette garce l'a trompé avec Pedro Lopez.

Le PDG de l'entreprise LPZ industrie, une entreprise qui investit dans le rachat et la location de terrains et de mobilier à un prix défiant la concurrence. Ce mec me tape sur le système, vous l'aurez compris c'est mon concurrent direct.


D'ailleurs en parlant de lui, sa soeur Rita travail pour moi récemment en tant que secrétaire générale.


Mon travail en tant que PDG du groupe Alvarez consiste à investir de l'argent pour des achats de biens et des lots de terres qui me rapporte gros à un prix raisonnable.


Le chiffre d'affaire du groupe Alvarez augmente voir triple un peu plus chaque année, de plus en plus de collaborateurs et d'actionnaires signent des contrats avec nous.


Mon entreprise est au sommet de sa gloire.


Mais j'ai un léger problème.


Voilà Rita, une brune élancée aux yeux noirs telle une biche, vêtu de vêtements couvrant à peine son corps au forme voluptueuse me fait du rentre dedans depuis deux semaines. Elle s'abaisse exprès, exposant ainsi sa poitrine généreuse soulignée par un décolleté très plongeant...Ah les femmes, je vous jure !


Une fois, elle s'est présenté à moi en tenue légère dans mon bureau, elle a commencé à me touché en caressant mes biceps traçant une ligne avec le bout de son doigt jusqu'à mon torse à travers le fin tissu de ma chemise blanche tout en me susurrant des paroles obscènes.


Bien sûr, gentleman comme je suis, j'ai repoussé gentiment sa proposition. Mais Rita n'accepte pas mon refus constant face à ses avances qui se fait plus insistant, alors elle a déchiré ma chemise.


Au même instant mon ami Pablo décide de se pointer dans mon bureau assistant à cet scène gênante. Face à ma détresse, Pablo a chassé Rita sans ménagement de mon espace de travail.


Déjà qu'il ne porte pas son frère dans son cœur suite à la trahison de celle qui partageait sa vie.


Alors voir la sœur du connard qui lui a piqué sa copine travailler pour mon compte, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.


Une fois la porte de mon bureau close, j'ai eu le droit à une remontrance de la part de Pablo.


Depuis lors, elle a été placé dans un autre bureau. Malgré les mesures prises à son encontre, elle continue quand même en venant dans mon bureau en essayant désespérément de me séduire.


Je n'ai plus le choix !


Le moment est venu de discuter de ma décision de l'a renvoyer définitivement de l'entreprise.


Je vous rassure ce n'est pas la seule raison, Rita ne fait pas de l'excellent travail, et ces rapports sont incomplets. Je travaille trois fois plus qu'avant.


Je regrette d'avoir laissé Amélie quitter notre entreprise quelques semaines auparavant. C'est avec un raclement de gorge que j'attire l'attention de mon ami.


- Hum, Pablo. Dis-je hésitant.


- Ouais, souffle mon ami mi-agacé, mi-amusé.


- À propos de Rita.


- Quand vas-tu l'a virée celle-là ? Elle est la soeur de ton concurrent et elle fout rien. Elle n'est pas compétente pour ce poste sans parler de son obsession pour toi.


- Ouais, justement laisse-moi en placer une.


- Pardon, mais ça devait sortir. Je n'aime pas cette fille.


- Justement à ce propos, j'aimerais l'a démettre de ses fonctions au sein de l'entreprise et j'ai besoin de ton aide en cas de complication.


- Et tes vigiles ils servent à quoi ? À décorer ton entreprise ?


- Bah, enfaite Rita a réussi à séduire tout les vigiles que j'ai embauché.


- La salope !


- Ton vocabulaire, jeune homme.


- Ça va, arrête d'imiter ton père, Juan.


- Bref, t'es avec moi sur ce coup, oui ou non.


- Je suis avec toi à 200%.


- Ça fait plaisir, merci.


- Bon Juan, voici le plan...


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