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Une punition terrible pour la pauvre Zélie. On comprend bien pourquoi Pazuzu a préféré rester à l'extérieur...

Pauvre Zélie, elle a l’air de passer un sale quart d’heure. S’ils ne peuvent lui faire mal et comme elle semble être habituée à la Lecture. Ne parvient-elle pas à faire abstraction à force ? J’aime beaucoup l’équilibre entre l’humour et un côté presque poétique.

Les fantômes sont suffisamment insidieux pour qu'on ne puisse en faire abstraction, c'est bien pour ça que la punition est si horrible et si crainte.

Probablement les trois, et des petits papiers glissés ça et là dans les interstices (on le verra plus tard).

La scène dans les limbes est très visuelle je trouve. On imagine parfaitement ces spectres qui lui tournent autour.

Je note un très bon équilibre entre le telling et le showing. La narration, encore une fois, est maîtrisée. Les doubles sens et les sous entendus sont toujours de mises. Le rythme est cassé au bon moment, pour rebondir de plus belle. La fluidité et l'enchaînement des phrases respectent la voix de ton protagoniste. Je vais surement te soûler, mais ton récit est très bon. L'humour est noir ou absurde. Les cassures du quatrièmes murs sont parfaitement gérés. Il faut bien que je trouve du négatif : "Elle s’avança alors dans les ténèbres, avec crainte et résolution." Cette phrase, peut-être aurais-tu dû montrer cette crainte et cette résolution. Mais, maintenant que je connais ta plume et ton univers, je sais que quand ton narrateur expose, c'est qu'il déforme la réalité XD