Bon ben c’est confirmé : Estelle Neffrey n’est rien de ce qu’elle dit être, et Amalia est le pigeon de l’année. Quel cynisme de la part de cette femme qui n’a pas hésité à manipuler une pauvre fille désespérée en lui faisant miroiter une somme astronomique, et en n’hésitant pas ensuite à la piéger avec un contrat ignoble. En fait, Amalia et Joachim ont bien un point commun : tous deux sont pressurisés et ont perdu leur liberté. Ce serait intéressant qu’ils le réalisent et que ça les rapproche, et peut-être même, fasse d’eux des alliés. J’ai trouvé super la description de l’île, tu t’es vraiment donné du mal pour inventer un lieu à la fois imaginaire mais tout à fait plausible, rattaché culturellement, géographiquement, historiquement, à des tas de choses existantes. Ça a dû te demander un sacré boulot de recherches, bravo.

Non la description de l’île ne m’a pas perturbé, la maison de monsieur Tomate oui 😄

Je suis contente d’avoir la description de l’île. J’aurai aimé avoir plus de la balade du prince. On est très vite passé à l’île et ses cultures, qui sont tout aussi intéressantes pour comprendre de quoi vivent les gens. Je pense comme le prince que ce magazine cache bien son jeu. Je pencherais pour être la priorité de monsieur Tomate.