Maxandre Chamarré JUDITH Chapitre 2

Chapitre 2

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25

25 commentaires

StarryHand

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Il y a 3 ans

Après avoir dévoré Rival il y a quelques jours je suis ravie de te retrouver avec cette histoire ! J’ADORE !!!! (promis je sors un commentaire sur Rival dans les prochains jours !)

Maxandre Chamarré

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Il y a 3 ans

Je suis tellement heureuse de savoir que tu as dévoré Rival ! J’ai hâte de lire ton avis. Ça me touche beaucoup d’apprendre que tu es directement venu(e) lire ma nouvelle histoire. Ça change un peu mais il y a toujours de la romance ! J’espère que la suite te plaira 😉

chaa

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Il y a 3 ans

hâte de lire la suite !

Maxandre Chamarré

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Il y a 3 ans

Merci beaucoup ! Je pense publier le chapitre 3 demain ☺️

Emeline_Ka

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Il y a 3 ans

Cette nouvelle me plaît beaucoup :)

Maxandre Chamarré

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Il y a 3 ans

Merci infiniment pour ta lecture 🙏🏻✨

Nina Terbe

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Il y a 3 ans

Je te remercie pour ta réponse. On est en train d’avoir un débat super intéressant. En effet, je pense que pour me faire un avis final j’attendrai la fin de ta nouvelle et je n’hésiterai pas à te le partager avec grand plaisir! Pour te répondre, je voudrais quand même aller un peu plus loin dans ma critique du contexte historique que tu décris. Même si je vois parfaitement la volonté que tu as de décrire le point de vue biaisé de tes personnages. On peut s’interroger en tant que lecteur: où commence ta volonté de décrire le point de vue biaisé d’une jeune femme qui vit dans un univers dystopique, et là où il s’arrête, c’est-à-dire, ta propre vision de l’Histoire. En revanche, je voudrais te contredire lorsque tu dis que tu crois ton lectorat suffisamment intelligent pour s’instruire lui-même. Si on fait deux grilles de lecture, on voit d’un côté un monde dystopique créé de toute pièce, et de l’autre un contexte historique. C’est là où je ne suis pas d’accord avec toi lorsque tu dis qu’il y a toujours quelque chose qu’on aurait pu dire en plus. Il y a toujours quelque chose à expliciter lorsque le contexte historique n’est pas rigoureux. Sauf si c’est un choix artistique. Et dans ce cas-là, le lecteur doit être prévenu, car ce n’est pas à lui de faire des recherches spontanément après l’évocation d’un événement historique. Un préambule serait idéal. Le lecteur est prévenu que le contexte historique est biaisé, que dans ton histoire, tu présentes les communards d’une certaine façon, et qu’à travers les personnages, il y a une critique de cette période. Au plaisir de te relire, j’attends avec hâte la suite.

Sue_Auteure

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Il y a 3 ans

C’est juste parfait ! Je veux la suite. L’intrigue est captivante et bien menée et la plume délicieuse. Bravo 😍✨

Maxandre Chamarré

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Il y a 3 ans

Merci infiniment Suzanne, je ne saurais te dire à quel point ton commentaire compte pour moi. Merci pour ta lecture et pour tes encouragements 🙏🏻😍

Nina Terbe

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Il y a 3 ans

Coucou, je te suis sur insta et je suis ravie de voir que tu postes un nouveau roman. J'adore tes descriptions d'un Paris dystopique et le côté romance est très bien introduit et me laisse en haleine. Même si l'ambiance générale est assez sombre et apocalyptique, je trouve qu'il y a quelque chose de très chaleureux et rassurant dans ta façon d'écrire et de faire vivre tes personnages. Vraiment. Cependant, si tu me le permet, je voudrais émettre une critique. Tu reprends plusieurs fois l'expression de la Commune et des communards. Est-ce que c'est bien une référence à la Commune de 1871 ? Parce que si oui, je trouve que tu la mentionnes assez injustement. Ce n'est que mon humble avis mais je pense que même si ton roman (qui a l'air excellent) est une fiction, tu ne devrais pas présenter cet événement historique de façon aussi négative. Je m'explique: la Commune a été une insurrection qui s'est finie très violemment (et c'est bien que tu mentionnes l'horreur de cette période, notamment lors de la mention du décès des parents de Judith). Mais ça été surtout un événement historique marquant dans l'histoire ouvrière et sociale de la fin du XIXème siècle. En mars 1871, Adolphe Thiers a souhaité purger Paris de « tous les rouges » et a fait entreposer les canons de la Garde nationale sur la colline de Montmartre. Les Parisiens ont élevé des barricades pour s'y opposer et ont pactisé avec les soldats de la Garde nationale. Ils ont organisé de nouvelles élections pour créer un nouvel ordre politique, qui sera violemment reprimé lors de la semaine sanglante. Certains projets de la Commune sont révolutionnaires pour l'époque (et témoignent selon moi de la modernité de cet événement) : le divorce par consentement mutuel, l'enseignement laïc et obligatoire, la séparation de l'église et de l'état, ... Pourtant, dans les deux premiers chapitres de ton roman, tu présentes les Communards comme des individus despotiques et assoiffés de sang, qui auraient tout détruit sur leur passage (et auraient vraisemblablement vaincu l'ordre établi). Je m'étonne lorsque MMM est décrit comme un communard. Tu considères ce personnage donc d'inspiration ouvrière et orienté à gauche ? Tu le vois comme une personnalité politique qui aurait réussi à se hisser comme leader/ dictateur lors d'un mouvement révolutionnaire et démocratique ? Le Paris de 2023 et celui de 1871 se mélangent, cela est incroyablement intéressant la plupart du temps mais sur ce point là c'est à revoir selon moi. Si tu trouves cette critique pertinente, je me permet de citer les deux passages qui ont choqués l'historienne en moi : (Chapitre 1) "Trois communards s'asseyaient actuellement dans les Confidents en velours de soie cramoisi de Napoléon III." Parce que mentionner Napoléon III floute cette frontière déjà fine entre des contestataires d'un évènement historique et ceux d'un roman fictif. (Chapitre 2) "Les révoltés avaient rapidement revendiqué l'héritage de la commune, tous menés par le charismatique MMM. Le programme était simple : expropriations et pillages, au moyen du crime s'il le fallait. Le camp était divisé en deux, les communards et les lésés. Mes parents avaient été assassinés le soir-même où les communards étaient entrés chez nous par effraction." Parce que même si ces révoltés en question se servent de cet événement pour justifier leur action, en tant qu'auteur, tu devrais faire attention à ne pas t'approprier ce discours de révisionnisme historique. Voilà, pour finir, je trouve que faire plusieurs analogies historiques sur Paris est une excellente idée (je souligne particulièrement celle Montmarcy// Montmartre). Cependant, selon moi, cela ne devrait pas être un moyen de révisionnisme historique, parce que c'est dangereux (on le voit notamment avec l'actualité poltique) et que, parmi des jeunes lecteurs, ces chapitres peuvent devenir des vecteurs de désinformation. Et c'est dommage pour une période historique aussi riche que la fin du XIXème siècle. Si tu le souhaites, tu peux supprimer mon commentaire. Je n'aurai aucun souci avec cela. Je tenais à te prévenir car pour moi c'est la seule ombre au tableau d'un roman qui s'annonce excellent. Je te souhaite un beau parcours d'écrivaine.