John Doe Je suis une pierre Ch.1 - Un organisme (2)

Ch.1 - Un organisme (2)

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92 commentaires

Nicole Pastor

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Il y a un an

Les deux paragraphes où il se raconte peuvent être lourds mais au final, non. Tu as fait en sorte qu'on s'attache au héros, par le biais de ses petits malheurs et tu as un talent indéniable pour entrer dans la tête des gens les plus tordus, expliquer le pourquoi: on a envie de le prendre dans nos bras et de lui dire, mais non, c'est pas de ta faute, vois la vie du côté mais ça, il aurait du mal à l'avaler vu qu'il n'a jamais ri une seule fois dans sa vie. Je suis étonnée qu'il ait eu une copine, il aurait dû se masturber seul dans sa chambre en regardant la photo de Sylvie Vartan (quoique ça, ça a déjà été urilisé x fois) être puceau avec son lourd passif lié à l'enfance, ses tocs et ses peurs. Est-ce qu'il va continuer à être froussard pour certaines choses ? En fait, il tremblait sans cesse pour tout, ton gentil garçon ...

John Doe

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Il y a un an

Ahhh Sylvie Vartan...

Helena-Secret

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Il y a un an

La vie l'a rendu comme ça, il ne sait jamais où se mette, ni quoi faire ou dire. Je reviens sur l'idée du traumatisme qui fait perdre la joie de vivre à certains 🙄

hélène

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Il y a un an

Pas mal le coup des fractures multiples et des petits tours en ambulance ! Tous les chemins peuvent mener à la célébrité ! Au collège, j'avais créé un groupe de filles "pas comme les autres" celles qui étaient rejetées pour une raison ou une autre par le restant de la classe ... la Directrice m'appelait Soeur Theresa et ça me mettait en colère ! J'apprécie votre écriture qui semble de prime abord "je m'en foutiste" et qui ne l'est pas ... finalement ...

ZELI

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Il y a un an

Les cartes postales de son père, la perte de sa première amie, les changements inattendus et la perte de sa mère ont laissé des marques profondes j’ai l’impression. Écrire pour exprimer des sentiments qu'il ne peut pas exprimer verbalement, et comment ça l'a aidé à affronter les complexités de sa vie… je comprends tellement…, l’émotion de solitude, d'incompréhension et de peur face à l'inconnu, c’est très dur. On est vraiment plongé dans ses réflexions qui ont façonné sa personne, mettant en lumière sa résilience et les séquelles durables des épreuves qu'il a traversées. Si je peux me permettre deux observations : Le texte manque d'aération. Cependant, je suppose que ça peut être dû à la mise en page Fyctia et à l'intention de gagner de l'espace. Ensuite, toutes les informations nous sont fournies d'un seul coup. Personnellement, j'aurais préféré les découvrir de manière progressive, même si ça ne me dérange pas nécessairement ! Bravo, c’est quand même très bien écrit. Rien a dire de ce côté.

John Doe

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Il y a un an

Hello mais oui tu peux te permettre ! Tu as raison pour l'aération, je l'ai noté. Concernant les infos sur le perso, je continue à en distiller après :-)

fleurdesprit

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Il y a un an

J'ai peur de la suite, vu le background psychologique de notre personnage!

Alex Andrine

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Il y a un an

Souvent les tueurs en série développent des TOC. Lui c'est un control freak. C'est intéressant car mis à part ce trait de sa personnalité, le reste ne semble pas le predestiner à devenir un tueur de sang froid (hormis le chapitre précédent avec son enfance plutôt bien pourrie). Adolescent, il semble malgré tout un peu plus posé, avec une petite amie, une passion pour l'écriture... il essaie tout de même de s'intégrer tout en étant quand même un peu en décalage et en retrait.

Juliette Marconnet

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Il y a un an

Ton sens du détail est assez affûté ! La façon dont ton personnage raconte son enfance ne laisse rien présager de bon pour la suite. De Sherlock Holmes ou Moryarty, lequel l'emportera sur lui ? Vivement la suite !

Savannah Rhys

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Il y a un an

On espère que ce luxe de détails sur ce personnage va servir l'histoire. C'est la question que je me suis posée. Ça peut paraître lourd au premier abord, même si c'est très bien écrit. Presque, par solution de facilité, on se dit qu'il est soit coupable de l'agression de la femme au début, soit il va en être soupçonné.