Adele Maine Immortelle Chapitre 7 - Iris - Part 2

Chapitre 7 - Iris - Part 2

Tu as aimé ce chapitre ?

8

8 commentaires

Marion_B

-

Il y a 5 mois

J'adore ce chapitre. Pour moi c'est le meilleur! Je trouve très fin le paradoxe entre ses sombres pensées et ses actes empathiques et généreux. On sent qu'elle dévale sur la pente de la dépression et de la noirceur mais qu'elle a encore de la lumière en elle. Elle aurait pu utiliser Marie pour se sortir de là d'une façon ou d'un autre mais elle a préféré la sauver malgré tout. J'ai trouvé tes descriptions très immersives aussi en peu de mots, je m'y serait crue à l'arrière de cette boutique, face à ces 2 "benêts".

Adele Maine

-

Il y a 5 mois

Merci à toi !

Le Mas de Gaïa

-

Il y a 5 mois

Iris fait la dure, mais au final elle tente de sauver Marie, même après sept ans à vivre l’enfer elle garde une part de bonté d’âme que Ronan n’a su étouffer. C’est mignon de voir Marie et Alphonse, leur timidité et leur maladresse qui contrastent tant avec le côté désabusé d’Iris et la vie qui attendait Marie sans l’intervention de cette dernière. D’un autre côté les actes d’Iris sont en parfaites contradictions de ses pensées. Même si elle a perdu l’espoir pour elle et qu’elle fait mine de se débarrasser de Marie et d’éliminer la concurrence, on sent son esprit de rébellion et sa générosité.

Adele Maine

-

Il y a 5 mois

Merci de ta lecture. Trop contradictoire ?

Marion_B

-

Il y a 5 mois

D'accord avec toi Gaïa!! Je dirais perso que j'apprécie justement la différence entre actes et pensées (on a le droit je trouve d'avoir de sombres pensées mais ce sont nos actes qui parlent le mieux pour nous) et on est des êtres plein de paradoxes / contradictions ce qui est très bien illustré ici!

Le Mas de Gaïa

-

Il y a 5 mois

Non au contraire, j'ai trouvé ça top. comme le dit Marion, on est des êtres pleins de contracitions et de paradoxes. Ça rend Iris encore plus attachante.

nofaceuser

-

Il y a 5 mois

Clic de soutien ;) N'hésite pas à passer sur mes derniers chapitres ;)

camillep

-

Il y a 4 mois

Ce chapitre est très malin car il nous montre la nature profonde d'Iris sans l'expliquer avec des mots. On voit que même si elle a la vie dure et qu'elle jalouse Marie d'être encore aussi candide, cela ne l'empêche pas de la sauver des griffes de Ronan. La "romance" entre le patissier et la jeune Marie est peut-être un poil rapide, mais je me doute de l'urgence de la situation... Je me suis juste questionnée sur l'expression "une moule accrochée à son rocher" : Iris vient du fin fond de la campagne et était bergère... je ne sais pas si elle a pu côtoyer des moules dans sa vie ?