Fyctia
Croustillants délires
Pendant ce temps-là, Lévy (Panda) ...
Elle est en train de me rendre dingue...
Douillettement installée dans son lit, je la regarde émerger de sa longue nuit réparatrice...
Je n’ai pas réussi à fermer l’œil de la nuit, pour ma part. J’étais trop frustré de n’avoir pu arranger les choses.
Hier soir, elle est ressortie de la salle de bain quelques minutes à peine après y être entrée. Sans le peignoir qui la couvrait jusqu’alors.
En tenue de nuit, oui ! Une tenue très, très légère...
Quand j’ai vu qu’elle ne lirait pas mes messages, j’aurai dû couper mes écrans et aller me coucher moi aussi. Mais je n’ai pas pu.
Les quelques secondes qu’elle a prises pour traverser la pièce et s’allonger dans son lit m’ont littéralement coupé le souffle.
Elle était magnifique.
Tout simplement sublime.
Cette femme a l’âme d’une guerrière et le corps d’une déesse.
Je sais que je ne suis pas censé la désirer ainsi après tout ce qu’elle a vécu. Bien sûr que je connais son passé, j’en suis l’un des acteurs principaux, hélas...
Mais comment résister sérieusement ? C’est impossible.
Je ne le peux pas. Et je ne le veux pas !
Ce petit bout de femme m’a ensorcelé, je suis pris au piège de sa beauté.
Une putain de beauté parfaite !
Elle a un petit corps menu aux courbes parfaitement dessinées, des yeux de braise mordorés qui s’enflamment lors de nos explosifs échanges écrits et une exquise petite bouche aux lèvres pourtant bien charnues qui me donne envie de croquer dedans.
La voir aussi peu vêtue m’a chauffé. Littéralement.
C’est la première fois que je consacre autant de temps et d'énergie à ce type de mission. Je n’étais pas censé la désirer. Elle n’aurait dû être qu’un colis, point final.
J’ai transgressé pas mal de règles pour gagner du temps et rester auprès d’elle si longtemps... Et sans même toucher le gros lot puisque je ne fais pour l’instant que l’observer de loin alors que je ne rêve que de la toucher, de la coucher sur un lit, et de recouvrir son corps du mien.
Rien ni personne ne me résiste d’ordinaire, et lorsque j’ai une chose en tête, soyez certain que je parviens toujours à mes fins, et ce, rapidement. Attendre sans rien faire n’est pas dans ma nature, mais je suis d’une persévérance à toute épreuve. Et avec elle, ça n’y paraît pas mais j’en ai déployé des trésors de patience !
Une grande première !
Pourtant, je suis sûr que ma récompense sera à la hauteur des efforts que j’aurai fourni...
A l’instant présent, je me réjouis d’avoir eu la brillante idée de dissimuler une de mes caméras-dômes dans le plafonnier de sa chambre.
Elle, assise comme elle l'est actuellement, installée le long de ses oreillers, en train très probablement d’ENFIN lire mes messages, j’ai une vue plongeante sur son décolleté plus qu’affriolant.
Vision enchanteresse qu’elle m’offre sans le savoir avec ce petit caraco rose bordé de dentelle qui met en valeur les formes épanouies de sa poitrine.
Les yeux braqués sur l’écran, je zoome le viseur de ma caméra sur l’objet si délicieux de mes fantasmes. Avide et inquisiteur, je mémorise et immortalise dans ma mémoire cette image somme toute bien innocente, mais qui attise mon désir resté trop longtemps inassouvi ces dernières semaines...
Inclinant légèrement le dossier de mon fauteuil de bureau, je renverse la tête en arrière, ferme les yeux et laisse des images graveleuses envahir mon esprit.
Elle est assise sur moi, à califourchon. Elle ne porte qu’une petite culotte en coton blanc et ce fameux caraco rose. J'ai les mains à plat sous son charmant petit cul et le nez plongé dans son cou.
Dans mon rêve, Elina est tout sauf une petite souris apeurée et elle savoure pleinement les baisers que je fais courir sur sa clavicule. Remontant l‘une de mes mains dans son dos, j’empoigne au niveau de sa nuque sa chevelure cuivrée et relève fermement sa tête vers la mienne, amenant ma bouche à la rencontre de la mienne.
Ses lèvres ont un gout de miel; nos langues se cherchent et se trouvent, s’emmêlent et se démêlent. C’est un baiser intense, brutale, cru, qui ne laisse pas de place aux sentiments.
Ses mains m’agrippent les épaules, et je laisse mes lèvres descendre vers sa sculpturale poitrine pour goûter aux délicieuses pointes érigées vers moi. D‘abord à travers le tissu de son vêtement, puis une fois celui-ci abaissé sous ses appétissants globes, je pars à la rencontre de son téton dénudé.
Et je deviens insatiable. Incontrôlable.
Je lèche et je mords.
Je suce et je pince.
Je savoure les mille et un délices de cette faramineuse poitrine.
Elle gémit, d’abord doucement puis plus de plus en plus fort et se met à balancer ses hanches en avant, frottant l’intérieur de ses cuisses et la moiteur divine de sa culotte contre mon érection encore injustement enfermée sous mon jean.
Je la laisse continuer son manège et porte les mains à ma braguette pour libérer ma queue affamée qui vient aussitôt se loger contre sa brûlante intimité.
D’une main impatiente, j’écarte son sous-vêtement, repositionne correctement mon gland et profite d’un de ses balancements saccadés pour l’empaler d’un coup sec sur mon membre.
Un grognement s’échappe aussitôt de ma bouche, un miaulement de la sienne.
Ses bras se resserrent autour de mon cou et je lui arrache un cri de frustration en la soulevant, les mains maintenant positionnées en coupe sous ses fesses.
Quelques brèves secondes d'attente et de douce anticipation et je la rabaisse, brutalement.
C’est si bon.
Elle est terriblement étroite et cela m’excite de pouvoir ainsi la manipuler, la positionner à ma guise. La faire languir. Et me faire désirer.
C'est pour cela que je la soulève à nouveau, la maintenant au bout de ma queue, caressant sa moite ouverture de la pointe de mon membre. J’aime entendre ses gémissements d’insatisfaction, traduisant son impatience à me vouloir en elle, profondément !
Ce n’est que lorsqu’elle cesse de me mordiller le creux de l’oreille et qu’elle me chuchote les mots si savoureux que j’espérais entendre que j’accède à ses désirs...
- S'il te plaît, baise-moi Lévy. Baise-moi, vite et fort... J’ai besoin de toi.
- Tes désirs sont des ordres, princesse...
Dur, épais, brûlant de fièvre, je plonge en elle avec énergie et me met à aller et venir entre ses cuisses. Les muscles bandés par l’effort, je m’efforce de faire durer le plaisir, en vain.
Le pouce contre son clitoris, je presse son petit bouton de chair avec ferveur et efficacité, la précipitant dans l’extase.
Une fois sa vague de plaisir passée, je la pénètre d’un coup encore plus profond, encore plus bestial et dans un dernier va-et-vient, je me sens aspiré vers l’orgasme le plus puissant que j’ai connu jusqu’alors.
Essoufflé, mais attiré par sa veine palpitante sous mes yeux, j'enfouis mon visage dans son cou et dans un dernier sursaut d’effort et de plaisir, j’y dépose un baiser passionné, destiné à lui rappeler pendant quelques jours notre petite folie sous la forme d'un joli suçon.
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Hilena
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Scarlett Owens
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Gottesmann Pascal
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Mymy M. *Sakuramymy*
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Eleonora_Stofferis
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Il y a 4 ans