Fyctia
Chapitre 4 - Azylis
Je me réveille doucement éblouie par les forts rayonnement du soleil, je regarde mon téléphone et remarque avec un léger effroi qu'il est déjà dix heures trente, il me reste plus que trois jours ici si on compte celui où je reprendrais l'avion. Ma relation avec Ezio est paradisiaque, même un peu trop, je me demande quand est-ce qu'il est devenu aussi parfait, vous pensez qu'il a fait un stage de perfectionnement spécialités relation social ?
Bref, aujourd'hui on doit encore ce voir, c'est moi qui est prévu la sortie du jour en souvenir de l'une des nombreuses sorties que nous avons pu faire au lycée.
En parlant de loup je reçois un message de lui me demandant l'horaire du rendez-vous qui est quatorze heures.
Je lui répond et part sous la douche, je dois me dépêcher si je veux avoir le temps de prendre un repas convenable, je prend quand même le temps d'allumer mon enceinte pour lancer de la musique. Il est midi trente cinq quand je passe à table, je me suis préparé des pâtes au pesto et un escalope de dinde accompagné de crème fraîche et champignons.
Avec dix petite minutes d'avance j'arrive sur le parking de l’hôtel ou je devine la voiture d'Ezio déjà garer, dommage pour lui aujourd'hui ce sera mon bijoux qui va nous amener.
- En avance à ce que je vois ?
- Bien sûr, répond-t-il souriant.
- Il va juste falloir laisser ta voiture ici..
Il me lance un regard désapro-batteur mais sort et ferme sa voiture pour me suivre, son regard s'intensifie quand je prend place derriére le volant.
- Jolie bolide..
- Porche 911, couleur bleu miamie, prends en de la graine avec ton Audi..
Il roule des yeux et souffle tant dis que je démarre et part en direction du circuit de karting le plus proche, évidement Ezio n'en savait rien du tout.
Au bout de trente minutes de route je me gare et sort, le châtain lui reste bloqué dans la voiture, je m'approche de sa fenêtre et lui glisse :
- Allez ramène toi, j'ai une course à gagner.
- Compte pas trop la dessus.
Enfin il se décide à mettre un pied dehors, on se rend donc rapidement à l’accueil, c'est pas comme si on était en avance.
Une fois que nous nous sommes enregistrer on nous conduit dans une salle avec plusieurs tenue de karting de différentes couleurs et taille, évidement Ezio se jéte sur celles de couleurs vertes tant dis que j'hésite entre le bleu et le blanc.
Après avoir finalement choisit la combi blanche je me change et rejoins l'employée et Ezio dehors prés des karting, on nous montre rapidement les pédales et toutes les commandes nécessaires puis nous voila derrière le volant.
Comme je l’avais perdis je gagne haut la main ce qui met un coup à son égo, mais bon qu’est-ce que j’y peux si il est nul ?
- Je me pensais plus fort…
- Il faut croire que tu te tromper…
- Tu m’humilie en public amore mio..
Je ricane sincèrement.
Apres tout cela nous nous changeons de nouveau puis une fois dans la voiture il me propose de ressortir demain soir, pour le dernier soir… en pensant à cela j’accepte automatiquement, je ne peux me résoudre à une autre réponse.
*
21 heure le lendemain :
Je descends les longues marches de l’hôtel et arrive dehors, malheureusement ma longue robe rouge ne me tiens pas très chaud, vue la fente je pense qu’on peut parler de courant d’air.
- Du rouge ? Je vois qu’on clôture bien les choses..
- Il faut toujours finir dans la splendeur..
- En parlant de ça, monte. On a une réservation. Je m’exécute, une fois garée je reconnais le restaurant, il s’agit du manoir rouge, le bar dansant où nous nous sommes revu pour la première fois.
- Ezio… c’est une superbe idée..avouais-je émerveillée.
- Je suis plein d’idée génial amore mio..
Sur ses mots il me donne son bras et nous rentrons, on tombe sur le même serveur et la même table, à croire qu’il a tout préparer.
Une fois assises j’observe les autres couple qui sont bizarrement moins bien vêtu que la première fois où je suis venue, je me sens alors exagérément bien habillée.
- Avez-vous une le temps de regarder la carte ?
- Non désolé, nous nous dépêchons.
Comme un coup dû sorts nous reprenons les mêmes plats, les mêmes vins, la seules chose qui change c’est Ezio qui mange enfin son plat et qui ne se fait pas virer du restaurant.
Pour les desserts Ezio décide de commander deux chesscake passion.
- Tu avais raison c’est vachement bon.
- Je te l’avais dit, j’étais sûr que tu allais adorer !
- Tu me connais mieux que je le pensais.
- Je t’ai toujours mieux connu et mieux considéré que ce que tu as toujours pu croire.
- Et inversement.
On échange un sourire et un regard mélancolique en disant long sur le reste de nos pensées.
Le reste du repas se passe dans les blagues douteuses d’Ezio et mes fou rires ridicule du a l’alcool ingurgiter.
Il est 23 heures quand on reprend la route de l’hôtel, mais bizarrement une fois arrivée à destination monsieur coupe son moteur et descends également de la voiture ce qu’il n’a jamais fait en me déposant jusqu’à présent.
Son regard de cendre se plonge dans le mieux, ses mains trouve un chemin jusqu’au miennes avant de les enlacer.
- Azylis, la dernière fois que nous nous sommes quittés je suis parti comme un lâche, sans un mot, tel l’enfant immature que j’étais..
J’essaye de l’interrompre mais il ne me laisse pas faire.
- Mais cette fois je ne veux pas d’un adieu, je voudrais un au revoir, une certitude que l’on va se revoir. Si cela ne devrait jamais arriver et que ce moment était notre dernier je veux que tu te rappel de moi comme ça..
Il rejoins sa voitures, ouvre la portière arrière du véhicule, sors quelques choses qu’il cache dans son dos et reviens.
- Ezio..
- Amore mio…
Je ne répond pas, le fixant alors qu’il met un genoux à terre.
- Tu ne va quand même pas..
- Non..
Je souffle de soulagement.
Soudain un bouquet de 15 tulipe blanche a vu d’œil apparaît sous mon nez, je ne retiens pas mes larmes en voyant qu’il se rappelle de ce petit détail, celui du jour où je lui ai dit que je rêvais d’un jour recevoir ses fleurs symbolisant l’amour pur sincère et idéaliste.
- Je m’en suis rappelée…
- Mon dieu…Tu sais que je t’aime..
- Bien sûr, comment pourrait tu faire autrement ?
Je le prend dans mes bras, puis nous reculons.
- Je dois partir maintenant Azylis ..
Sans réfléchir je fais ce que la jeune moi a toujours voulu faire, je l’embrasse, bouquet de fleur en main.
Notre baiser plein de fougue transpire la mélancolie, la nostalgie, la peur, l’amour et enfin la passion.
- Au revoir, amore mio..
- Au revoir, mi amor..
Puis il disparaît dans sa voiture.
2 commentaires
François Lamour
-
Il y a un an
lea.morel
-
Il y a un an