De ce que je comprends dans le début de ce chapitre, il semblerait que la jeune femme ai subis un traumatisme par le passé et que l'événement de la nuit passé la ramène à ce qu'elle a vécu étant plus jeune ! Cela dis, découvrir un cadavre en pleine nuit dans un lieu sensé être "sécurisé" n'aide pas à ce sentir bien ! Ici, nous avons une première vrai interaction entre les deux personnes que l'on attendait tous depuis le départ ! Je pense que Éros a bien des choses à cachée et j'ai hâte de les découvrir ! Attention aux petites fautes (je te les signales alors que je ne suis pas mieux que toi mais bon !) En tout cas, ce chapitre est toujours autant fort en descriptions ! Ça se lit très facilement :)

Beaucoup d'adverbes, tu gagnerais en fluidité à en enlever quelqu'un, ainsi que des comparaisons / analogies. Par exemple, au tout début, tu as " comme une lame de couteau contre un meuble d'acajou ", ça me paraît un peu lourd : on a déjà l'idée précise du son d'une chaise qui raille le parquet. Des fois, je pense que tu veux trop en faire - essaye d'aller plus droit au but dans ton actions et ne pas te perdre dans les descriptions. Là on est prise dans sa colère froide, elle veut quitter la pièce, on a pas besoin d'une pause à ce moment du récit. Au contraire, on veut du mouvement ! ^^ J’aime beaucoup cet échange avec Eros, simple, défense, curieux. Je spécule, mais je sens qu’elle va bientôt avoir de la compagnie dans ses sorties. Par contre, je suis étonnée que la directrice ne s’interroge pas plus sur sa découverte en pleine nuit.

Trop de comparaison. Ca ajoute de la poésie, mais il y en a trop

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