Bonjour Pascal, sans m'abuser, je dirais que ce chapitre est joliment écrit fruit de l'imagination d'un homme sans plus ni moins, je suis dépité de lire des commentaires issus d'une idéologie MLF poussiéreuse et dépassée de femmes visiblement frustrées de la vie, du plaisir du sexe et du reste. Femmes flétries au cœur rassis comme un pain rassis au caractère et à la personnalité tout aussi rassie au demeurant. Personnes incapables de comprendre que ce n'est qu'une histoire et rien de plus ce que j'ai eu d'ailleurs à l'expliquer à cette personne déjà. Donc de devoir réexpliquer une fois de plus à cet esprit fermé qu'à aucun cas l'histoire ne peut représenter le reflet de la personnalité de l'auteur! Et quand bien même! Si tu aime à imaginer l'image d'une belle femme blonde au corps de rêve et alors? Il semblerait que cette personne manque de maturité et ne connaisse pas grand chose au plaisir et aux hommes bien que je connaisse des femmes qui regardent les hommes comme de la friandise sans être obligé de parler de "viande" ce qui ne donne aucun honneur à celle même qui l'écrit. Je renvois cette personne à ses propre écrits qui ne sont pas à piquer aux hannetons. Ne te laisse pas affecter par des paroles aigries. Courage, je suis prés de toi.

Merci pour ton soutien Jean Marc, les commentaires de Cara sont de l'histoire ancienne et, à présent, j'attends avec impatience le prochain concours. L'envie de continuer cette histoire est partie mais pas celle d'écrire.

En conclusion de ce chapitre : c'était intéressant d'avoir le point de vue de Guillaume, mais aussi un peu décevant dans le sens ou tu le présentes comme un homme un peu imbu de lui-même et qui a peu de considération pour les femmes en dehors de leur physique. c'est peut-être ton but, mais ça ne le rend pas sympathique. Le côté "je suis doué" n'est pas à changer, il est effectivement doué, mais tu peux le contrebalancer par un caractère doux, ouvert aux autres, à leurs qualités. C'est le héros de ta romance. Un homme qui doit se démarquer suffisamment des autres hommes pour convaincre Blanche (qui ne veut PAS d'une relation) de lui faire confiance. De ce que tu nous présentes de Guillaume, il n'a pas ce qu'il faut pour la faire rêver.

La fin de ton chapitre devrait être prenante et angoissante, mais comme je te l'ai dit un peu plus haut : pourquoi les pommes sont-elles encore en vente si elles sont avérées empoisonnées ? C'est très visuel, oui, mais ça ne tient pas debout. Si les pommes sont dangereuses, au-delà du souci de la mise en vente : pourquoi prendre le risque d'en garder dans le cabaret, ou quelqu'un pourrait la croquer ?

" À présent qu’elles ne sont plus comestibles." : L'idée des pommes non comestibles est sympathique, et c'est le point central de ton intrigue. C'est dommage que tu ne développes pas plus ce point ! Pour l'instant, officiellement, il n'y a que l'annonce des infos quand Blanche faisait le ménage, et les pommes n'étaient que supposées être le problème. Depuis, il a donc été confirmé (auprès de la population) que c'était bien les pommes qui rendaient malades ? Dans ce cas, ils ne devraient même plus pouvoir les acheter, même pour un numéro de lancer de couteau. Ton annonce était belle et intéressante, mais une fois de plus, BIM, "la femme morceau de viande". Ton intrigue se passe dans le futur, le statut des femmes est resté dans les années 2000 ?

— Bravo, je vois que t’es aussi courageuse que belle. : Et tu retombes dans le même travers. Ce n'est toujours pas un morceau de viande qui n'a que sa beauté pour elle. Et le petit côté paternaliste est un brin gênant. Et puis... si c'est sa partenaire, pourquoi la féliciter d'un coup comme ça ? Ce n'est pas une enfant, tu sais ? j'ai une question, ne le prends pas mal : mais te rends-tu compte de toute la misogynie que tu mets dans tes romans ? L'image que tu renvoies des femmes est vraiment très très limite.

Cette fille est outrageusement belle, bien trop pour moi, et c’est pour ça qu’il ne s’est jamais rien passé. => Tu as vraiment un souci dans ta façon de présenter les personnages féminins : par leur physique avantageux ou non. Ce ne sont pas des morceaux de viande. Je suis un peu gêné par ta formulation qui laisse entendre que si Guillaume avait été "assez bien", il y aurait eu quelque chose. Sous-entendu "la fille m'a rejeté juste parce que je suis pas assez bien pour elle". Et puis, il dit ne pas l'imaginer une seule seconde dans l'intimité, mais si c'était le cas, cette phrase ne lui traverserait même pas l'esprit ! Tu enchaînes sur la description de Guillaume comme si le simple fait de voir un bel homme suffisait à les faire fondre : j'ai le regret de te dire que si c'est le cas pour certaines (normal, certains hommes aussi s'arrêtent à l'apparence), c'est quand même une vision désuète et un brin misogyne qui n'a pas forcément sa place dans une romance. "puisqu’on n’est pas au pays des contes de fées." : tu peux te passer de la précision qui est un brin maladroite. Mon amie blonde au corps de rêve : non. Pourquoi la redéfinir direct par ça ? C'est son ami, mais il ne voit que son corps ? C'est réducteur.

J'aime la façon dont tu décris le cabaret, l'ambiance que les clients peuvent y retrouver, je trouve ça bien que tu aies gardé ça dans ton nouveau monde. En revanche, je trouve juste un peu problématique que tu te sentes obligé d'opposer les numéros poétiques à celui de femmes nues. Pourquoi pas des hommes et des femmes nus ?

Et oui. Malheureusement.