Irma Ladousse Carine & Marc Ch 25 - Lettre à Emma (3)

Ch 25 - Lettre à Emma (3)

Ch 25 - Lettre à Emma (3)

Tes cris se succèdent au rythme de mes à-coups, je t’emmène aussi loin que possible puis je ralentis pour ne pas trop te fatiguer dans cette position un peu inconfortable pour toi, et pour te permettre de garder de l’énergie pour profiter de la suite. J’arrête mon mouvement, relève tes hanches pour dégager mon corps de ton emprise et te basculer sur le dos tout en gardant nos sexes unis, je suis au-dessus de toi à présent et je t’embrasse le visage pendant que tu reprends tes esprits, mais je ne te laisse pas trop longtemps et je reprends doucement mes va-et-vient dans ton sexe trempé, tu ouvres les yeux et ton regard brillant plonge dans le mien, mes mouvements longs et lents ne t’offrent pas d’orgasme mais te font frissonner, je ressens la sensualité qui t’envahit sous cette caresse profonde et continue.


Ce câlin intérieur te fait soupirer de plaisir tendre, mais exacerbe aussi l’envie de jouir et ton corps réclame à nouveau un peu plus de vigueur de ma part ; je me redresse alors et je remonte mes genoux sous tes cuisses sans que nos sexes se séparent, et je reprends mes mouvements, lents d’abord puis plus vite, je joue à explorer les différentes zones de ton vagin, la petite surface sensible à l’entrée, que j’avais un peu sollicitée tout à l’heure avec mes doigts, puis je replonge au fond de ton puits brûlant, ma position redressée permet à mon sexe de bien appuyer sur l’avant de ton vagin et de bien aller au fond, ce qui te donne des ondes de plaisir qui te font vibrer, tu montes doucement la pente de l’orgasme, je joue à te guider sur ce chemin par des variations de vitesse, de vigueur et de profondeur dans mes mouvements, je profite totalement de tes gémissements que je provoque comme avec une télécommande, c’est merveilleux de te regarder prendre ton plaisir, de te voir profiter de ton corps pleinement, tu es abandonnée dans mes bras, tu te laisses emporter dans un monde où tu te laisses naviguer les yeux fermés, j’ai l’impression de n’être plus là, que je n’existe que par mon seul sexe qui te remplit et te berce sur une série de vagues qui viennent déferler sans fin, tu sembles être capable de te laisser bercer dans cet état indéfiniment, mais hélas mon souffle ne nous permettra pas de faire durer ce bonheur des heures, je dois ralentir progressivement pour ne pas te faire retomber trop brutalement dans le monde réel, et j’ai peur aussi que ces orgasmes t‘épuisent car j’ai l’intention de t’en offrir d’autres par des caresses appliquées sous des angles différents de ton sexe si accueillant…


Je te laisse revenir dans le même monde que moi, en gardant nos sexes liés, j’approche mon visage du tien pour t’embrasser les joues, les yeux, frôler tes lèvres, ton souffle est court et ton regard un peu perdu, je nous laisse souffler un peu puis je me retire et je saisis délicatement tes hanches pour te faire te retourner et m’offrir une belle vue sur tes fesses exposées et ta petite vulve offerte, que j’approche pour lui faire un bisou et titiller les petites lèvres avec ma langue, mais tu n’en es plus à ces jeux trop sages, tu veux à nouveau me sentir en toi, être remplie de mon désir tendu, je me redresse alors et viens glisser mon gland entre ces petites lèvres qui le réclament, ton désir est tel qu’une légère poussée suffit à mon sexe pour être avalé de nouveau et le contact différent de ma verge contre l’arrière de ton vagin te fait doucement gémir de contentement.


Mes mains parcourent ton dos pendant les caresses de mon sexe, depuis les reins jusqu’aux épaules en remontant le long de ta colonne, puis redescendent sur tes flancs pour reprendre leur ascension par des chatouilles, puis un appui plus ferme, ces caresses te plaisent mais te troublent car tu ressens à la fois ce câlin sur ta peau et les caresses intérieures qui te provoquent des sensations différentes, presqu’opposées, tu ne sais plus si tu dois profiter de la chaleur sur ta peau ou du frottement qui ne parvient pas à te procurer un orgasme, je sens cet inconfort dans tes soupirs alors je descends mes mains sur tes hanches, les saisis fermement et modifie le rythme de mes caresses internes pour labourer plus intensément ton sexe avide de plaisir ; mes mouvements plus rapides et complets, depuis le bord de tes petites lèvres jusqu’au fond de ton vagin t’apportent le plaisir espéré, tu grognes au rythme de mon va-et-vient, j’ai peur que tu ne cries et que tes voisins t’entendent mais tu sens les cris venir et tu les lâches dans l’oreiller que tu remplis du bruit de ton plaisir.

Je prolonge ce moment autant que je te sens capable de le tenir, mais tu as besoin de respirer un peu alors je ralentis et reprends moi aussi un peu de souffle, mes mains lâchent tes hanches et viennent sur ton ventre, je te te relève pour me coller à ton dos, mes mains remontent et prennent tes seins pour les caresser doucement, mon sexe reprend ses mouvements mais dans cette position relevée il caresse l’avant de ton vagin, cette zone sensible qui te donne des frissons, tu repars dans un autre plaisir, différent, peut-être plus sexuel, plus animal il me semble, mes doigts saisissent alors tes pointes de seins pour les pincer doucement, les tirer tendrement, tu es en train de fondre de bonheur dans mes bras, sous mes caresses, ma joue est contre la tienne et je participe à ton plaisir, je le savoure, tu es merveilleuse de jouissance abandonnée ainsi sous mes câlins, j’aime ça, j’aime t’offrir mon corps pour ton plaisir, tu es épuisée mais cette caresse de mon sexe ne et fatigue pas, tu pourrais la faire durer des heures, c’est encore meilleur que te masturber doucement, car nos corps unis et mes mains sur tes seins ajoutent au plaisir vaginal qui te remplit de douceur, tu ne sais plus si tu es une princesse qui fait l’amour ou une grosse cochonne qui baise, tu t’en moques car tu es bien, tu jouis doucement, longuement, sans fatigue, et ça te suffit, le monde peut s’écrouler autour de toi ça ne te concerne pas…

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