Fyctia

Nous avons ensuite échangé des câlins doux et enivrants, je t’embrassais le visage, le cou, les seins j’ai osé approcher de tes aisselles, tu as compris tout de suite et offert ton trésor en relevant ton bras, je suis venu humer cette zone ô combien érotique, j’ai eu le bonheur de recueillir un doux parfum, léger et acide, je l’ai goûté et ai senti sous ma langue la merveille de quelques petits poils que tu avais eu l’intelligence de ne pas raser, merci pour ce cadeau merveilleux, je garde le goût amer de ton aisselle attirante, j’ai l’impression d’être admis dans ton intimité, c’est très enivrant, je viens alors chercher le même plaisir vers ton aisselle gauche mais celle-ci est moins odorante et moins goûtue, agréable aussi bien sûr mais je reviens vers la droite qui est plus érotique avec sa douce humidité…

Tu m’as offert le plaisir de découvrir cette zones si intimes, si pleines de toi, le goût de ta peau, le parfum de ton corps, et j’ai réalisé ensuite que je n’avais pas exploré toutes les zones qui peuvent être sensibles, peut-être aurais-je dû laisser mes mains parcourir davantage ton dos et descendre vers tes fesses, en découvrir la rondeur et la plénitude, et élargir la zone des câlins de ma langue vers le tendre vallon pour venir titiller ton petit anus…

Peut-être aimes-tu être titillée de ce côté, j’aurais dû m’y aventurer, tu aurais su me laisser le découvrir si tu en avais envie et sinon je m’en serais détourné sans aucune gêne entre nous je le sais…

Pendant notre première étreinte, lorsque ma main a osé s’aventurer vers ton minou chaud et attirant, tu as aussi palpé mon sexe à travers mon jean, je ne sais plus s’il était très tendu ou pas, s’il ne l’était pas j’espère que tu n’as pas été déçue, mais il faut que tu saches, si c’était le cas, que ce n’est pas un manque de désir ni d’intérêt pour tes atouts séduisants…

Il se trouve simplement que ma tête était concentrée sur la découverte de ton corps et de sa sensibilité, pour découvrir le chemin de ton plaisir et t’apporter un peu de bien être, et alors mon désir de plaisir personnel était secondaire, je n’étais pas là pour ça, et mon sexe n’avait pas d’utilité dans notre étreinte, bien sûr si tu l’avais sollicité il aurait répondu à tes attentes, mais comme il n’avait pas de rôle à jouer il se tenait tranquille, ça peut te paraître bizarre mais c’est comme ça, si je m’occupe de ton corps et de ton plaisir avec mes mains et ma langue, mon sexe ne réagit pas vraiment, surtout s’il reste caché dans le pantalon ; j’espère que tu n’as pas été inquiète de cette apparente absence d’intérêt de sa part…

Il en aurait été autrement (j’espère!) si nous avions eu l’échange que tout couple aurait dans une telle situation… Nous aurions dû, si j’avais pu rester plus longtemps, poursuivre nos câlins et profiter de nos corps davantage…

2

Heureusement nous avons trouvé rapidement une nouvelle occasion de nous revoir, tu m’as accueilli de nouveau dans ton petit nid douillet, et nous avons repris dès nos retrouvailles, dans l’entrée, notre étreinte interrompue la première fois : nous nous sommes retrouvés, sans vraiment nous en rendre compte, tous deux nus sur ton lit, et t’es aussitôt abandonnée à mes caresses, mes mains ont commencé à parcourir ton corps, je me souviens ensuite de chaque instant...

Tu viens de vibrer légèrement sous mes doigts, je passe mon bras sous ta tête et je te serre contre moi, ta tête est blottie contre mon torse et mes mains parcourent ton dos, caressent tes fesses, je sens tes seins lourds contre ma poitrine, et tes mains me caressent, me palpent, et descendent vers ma ceinture pour la déboucler et retirer mon pantalon, tes doigts s’intéressent à mon sexe qui reçoit le contact avec bonheur et gonfle entre tes mains, tu le sens durcir et tu t’enhardis en le parcourant pour le découvrir, ta tête abandonne ma poitrine pour se rapprocher de l’objet de ta curiosité, j’ai l’impression de n’être plus qu’un sexe dressé,le reste de mon corps n’existe plus, tous mes sens sont centrés sur cette zone que tu touches, caresses, tripottes de tes doigts agiles, tu chatouilles, tu presses, tu caresses, tu griffes, tu palpes, depuis le petit orifice du gland jusqu’aux testicules que tu masses tendrement, tes yeux dévorent ce membre dressé et très vite ta bouche vient l’embrasser, ta langue titiller la tige pendant que ta main caresse les boules serrées dans leur sac, et enfin ta bouche vient avaler le gland qui commence à perler d’une goutte de plaisir…

Un frisson remonte dans mon dos, provoqué par la chaleur humide de ta bouche gourmande, tu ressens la vibration dans mon sexe qui gonfle encore de désir sous ta langue et dans tes doigts et tu laisses échapper un petit grognement de plaisir.

Je te demande d’arrêter car tes caresses expertes et troublantes vont provoquer une éjaculation incontrôlée qu’il nous faut empêcher car ton sexe brûlant réclame à son tour de profiter du jouet que tu tiens dans ta main et emprisonnes dans ta bouche : ton vagin jaloux réclame son dû !

Tu quittes à regret l’objet de tes caresses et viens me chevaucher ; ta vulve est tellement mouillée qu’elle est entrouverte et trouve immédiatement le manche sur lequel elle vient en contact ; elle est avide de l’avaler mais ton envie de profiter de chacun des instants te commande de ne pas avaler le morceau tout de suite, tes petites lèvres restent contre mon gland comme pour lui faire un tendre bisou, elles frémissent d’envie alors tu t’abaisses lentement de quelques petits centimètres afin de laisser mon bout rond et gonflé s’introduire légèrement à l’entrée de ton puits d’amour ; ton regard se trouble et ton visage exprime une vive excitation, ton sexe réclame si fort que tu te laisses descendre afin de tout avaler et contenter ton vagin dont les chairs brûlantes s’écartent sous la poussée de douce pénétration qui te rend folle de plaisir et et fait pousser un rauque gémissement.

Tu te mets alors à monter et descendre sur cette tige qui te remplit, mais ton envie si intense t’empêche de contrôler le mouvement et tu t’agites en désordre ce qui ne contente pas ton besoin, je reprends le contrôle en posant mes mains sur tes hanches pour t’arrêter et te relever un peu et pouvoir à mon tour exercer le mouvement dont ton sexe a besoin, je te donne les caresses que tu reçois en fermant les yeux, doucement d’abord puis de plus en plus vite en venant cogner mon pubis contre le tien, tu sens mon sexe heurter le fond de ton vagin, je sens ce contact qui à chaque heurt provoque un petit cri de ta gorge tendue ; j’en profite pour admirer tes seins qui balottent au rythme de mes coups, tes seins bien ronds et bien pleins qui s’agitent au-dessus de mon visage.