Fyctia

« Effectivement, il ne me restait guère plus de dix minutes à nos ébats avant que je ne doive partir. »

« Alors ?… Dis-moi ! »

« Je me suis positionné derrière ces fesses magnifiques, posé mes mains sur ces fesses offertes, les ai légèrement écartées, puis me suis approché de l’entrée de son sexe qui, ouvert, rose et luisant, attendait le mien,... »

« Mmmmhhh…. Ça devient chaud, de nouveau, j’aime ça… ...Mais dis donc ! Tu ne dois pas me raconter, mais me mimer ! » réagit Carine, ...et elle se positionna à quatre pattes devant Marc, cambrée, les fesses offertes.

Marc sentit son membre reprendre de la vigueur devant cette merveille exposée, et avant qu’il n’ait réagit, Carine, décidément très chauffée par le jeu auquel ils jouaient, avait posé ses mains sur ses fesses pour les ouvrir et attendait, la tête plongée dans l’oreiller…

Marc approcha, posa ses mains sur les hanches offertes et inséra son gland à l’entrée du puits brûlant de Carine, puis poussa cette fois-ci son membre jusqu’au fond de son nid accueillant, provoquant chez Carine un long OOUUUIIIIII de contentement.

Déjà Carine s’était redressée et encourageait Marc d’une voix rauque « Vas-y lime-moi, défonce-moi, c’est bon quand tu es en moi, j’aime ça,... » et Marc, tout en respectant la demande de Carine, lâcha ses hanches et pris ses seins dans les mains, tout en redressant doucement le buste de Carine, qui se retrouva accroupie, assise sur les cuisses de Marc, son dos contre son torse, ses seins emprisonnés dans ses mains qui la caressaient et lui pinçaient tendrement mais adorablement les tétons, et cette position fit que le pénis de Marc, tout en labourant totalement le vagin de Carine, frottait aussi sur la partie avant de son vagin, plus précisément, de nouveau sur ...le point G !

Carine, prise par ce labourage profond qu’elle attendait depuis trop longtemps déjà, ne réalisa pas tout de suite que ce plaisir était accompagné, renforcé, par ce câlin sur ce point si sensible chez elle ; et lorsqu’elle comprit qu’elle était à nouveau emportée par ce plaisir si particulier, renforcé par celui des parois caressées, elle était déjà prise dans le tourbillon des sensations électriques qui rayonnaient depuis son bas-ventre dans tout son corps : les mains de Marc qui massaient ses seins, ses doigts qui jouaient avec ses pointes, ses lèvres qui embrassaient son cou, son torse contre son dos, ses cuisses sous les siennes, son ventre contre ses fesses, elle ne savait plus quoi encore mais elle avait l’impression que leurs corps étaient fondus l’un dans l’autre et cela la remplissait de nouveau, mais plus totalement encore, de ces vagues de plaisir qu’elle ne pouvait contrôler et qu’elle laissait l’emporter dans une danse d’orgasmes, elle ne savait plus si c’était DES orgasmes qui se succédaient ou si ce n’était plus q’UN orgasme continu, qui ne cessait plus, qui ne cesserait pas et qui l’épuiserait encore davantage que le firent tout à l’heure les caresses de l’étreinte précédente…

Marc ressentit que Carine allait ici encore s’épuiser à jouir, et il ne voulait pas qu’elle soit trop fatiguée, il tenait à ce qu’elle soit capable ‘d’écouter’ la suite de son histoire.

Car il conservait le contrôle, lui, et escomptait faire profiter Carine des mêmes plaisirs qu’il avait offerts à Hélène, et il avait encore une séquence à dérouler…

Il réduit decrescendo la puissance de ses caresses, en rythme et en force, afin que Carine reprenne un peu ses esprits et soit prête à recevoir la dernière étape de son récit.

Mais Carine ne sembla pas d’accord avec cette baisse de rythme ; elle se mit à reprendre suffisamment son souffle pour ordonner à Marc : « Vas-y, baise-moi, continue, BAISE-MOI !!! »

Mais Marc ne dévia pas de son idée, même si l’envie d’oublier son récit et de rejoindre Carine dans un orgasme partagé le torturait, il tenait à changer de position pour offrir à Carine un autre mode de plaisir, comme il l’avait fait pour Hélène.

Une part de lui ressentait que cette histoire de mime était un peu ridicule, peut-être déplacée, voire perverse si l’on prenait du recul, mais il avait engagé la démarche et voulait la mener au bout, pour que Carine comprenne, partage cette expérience.

Il chuchota près de l’oreille de Carine, lui demandant de s’allonger pour une expérience différente, et accompagna le mouvement de Carine sans séparer leurs sexes quand elle déplia ses jambes pour se mettre à plat ventre.

Une fois allongés, Marc, appuyé sur les coudes pour ne pas peser sur Carine, lui murmura dans le cou « Cambre-toi pour offrir ton sexe au mien... »

Carine se cambra, collant ses lèvres à la base du sexe de Marc, elle se sentit emplie et apprécia cette sensation, bascula son bassin vers l’avant, s’éloignant du bas-ventre de Marc et provoquant presque la sortie de son pénis, puis se cambra de nouveau et compris l’intérêt de cette position, qui lui permettait de maîtriser les caresses à l’intérieur de son vagin.

Et alors qu’elle se trouvait dans une position apparente de domination, le mâle vautré sur elle, écrasée sur le ventre dans une position de sodomie, elle se surprenait à aimer cette domination simulée, alors qu‘en réalité Marc, en appui sur les coudes, ne pesait quasiment pas ; seul son bassin se faisait sentir lorsque Carine était cambrée, sa vulve appuyée à la base du pénis de Marc.

Marc entama des mouvements de bassin pour caresser le vagin de Carine, et en accélérant ce va-et-vient provoqua rapidement une montée du plaisir chez Carine qui se cambrait au maximum pour profiter de l’intensité des vibrations générées par ce frottement continu qui la transportait.

La montée du plaisir ne tarda pas à se transformer en un orgasme violent, qu’elle essaya, la tête plongée dans l’oreiller pour crier à loisir, de prolonger autant qu’elle put, mais le souffle lui manqua et elle bascula son bassin vers l’avant, Marc ne changea rien à son rythme ni à la force de ces à-coups mais son sexe ne remplissant plus aussi totalement son vagin l’intensité des caresses était moindre et Carine put souffler un peu, tout en profitant du jeu de Marc qui lui offrait une continuité de câlins intimes qui maintenait un doux plaisir qu’elle appréciait presque autant que l’orgasme violent qu’elle venait de recevoir.

Cette envie de jouir intensément repris le dessus et, prenant son souffle, Carine cambra de nouveau violemment son bassin tout en enfonçant son visage dans l’oreiller car elle savait à quoi s’attendre : un nouvel orgasme s’annonça presque immédiatement, plus rapide encore que le premier car elle savait à présent comment se placer : son oreiller subit de nouveau ses cris et même ses morsures cette fois-ci, elle tenta encore de prolonger le plaisir mais dut se résoudre à basculer le bassin de nouveau pour décoller sa vulve du sexe de Marc et se relâcher un peu…