Irma Ladousse Carine & Marc Ch18 - Hélène (1)

Ch18 - Hélène (1)

« Donc je devais rester une matinée sur place, finir vers 13h et reprendre le train pour Paris, mais j’ai choisi un retour un peu plus tardif pour avoir le temps de passer embrasser cette femme avant d’aller prendre mon train -Par chance elle habitait dans le quartier de la gare !


Je lui avais proposé de se retrouver dans un café mais elle a tenu à ce que je vienne chez elle, j’étais partagé entre l’attirance d’une expérience probablement riche selon ce que je connaissais d’elle et le risque de gâcher quelque chose d’assez unique, cette relation qui durait depuis plusieurs mois alors et qui n’était pas anodine, riche même sous beaucoup d’aspects…


J’ai accepté de passer chez elle, lui ai dit vers quelle heure je passerai, lui précisant l’horaire de mon train afin qu’elle ne construise pas un plan trop élaboré…


En fait nous disposions d’à peine plus de vingt minutes si je voulais avoir le temps de rejoindre la gare calmement, donc le temps de se parler, d’échanger quelques baisers et câlins peut-être mais pas d’envisager des « échanges » très « approfondis » ! »


« Dommage, ça semblait prendre une tournure intéressante, tu brises l’espoir de ton auditrice, là ! »


« Attends, je continue…

Donc j’arrive à l’entrée de son immeuble, je sonne, l’interphone grésille et une voix chaude »…


« ‘une voix chaude’ : tu mets de la tension érotique, là ! » interrompit Carine en souriant


« C’est l’impression que ça m’a donné… Donc cette voix chaude dans l’interphone me fait ‘Oui ?’ ; je réponds « Hélène ? C’est Marc ». ‘Je t’ouvre. Deuxième, à gauche’ et le bruit de la porte qui se libère m’autorise à entrer.


Je prends l’escalier, j’arrive au deuxième et je vois la porte de gauche entr’ouverte et son visage dans l’encadrement, son corps restant caché derrière la porte.


Je me dirige vers la porte, qu’Hélène ouvre en restant derrière, elle referme derrière moi et je la découvre en peignoir, peignoir qu’elle ouvre aussitôt pour offrir son corps nu et me tendre ses bras !

Pour une rencontre simple et rapide ça partait mal, ce n’est pas ce que j’imaginais, même si c’était une entrée en matière très intéressante, mais j’avais ce fichu train... »


« Comme nous hier ! C’est bizarre, tu organises toujours tes rencontres avec un train à prendre dans l’heure qui suit ? Ça ferait un thème d’analyse, ça, non ? » se moqua Carine


« Oui, je sais, c’était bête, mais c’était prévu ainsi, on était soit allés trop loin en décidant de cette rencontre, soit pas assez…

Bon, bref, je ne vais pas te détailler, mais je la prends dans mes bras, je lui rappelle à l’oreille que je dois partir dans vingt minutes, comme toute réponse elle me prends la nuque et m’embrasse langoureusement, un baiser chaud, plein, fort, auquel je m’abandonne, et c’est elle qui y met fin en me prenant le visage et, le regard planté dans le mien : ‘En quinze minutes, on peut profiter quand-même !’ et m’emmène par la main vers sa chambre, où le lit ouvert nous attend, et se met à me déshabiller avec adresse, mes boutons de chemise sautent, ma ceinture est ouverte et mon pantalon déboutonné en un éclair, et elle est déjà à genoux à câliner mon sexe qui bien sûr n’attend que cela au garde-à-vous ! »


« Oh oui ! Continue, je veux la suite, avec tous les détails ! »


« Non, je ne vais pas te détailler la suite, par respect pour cette femme d’abord, mais aussi parce que je te vois déjà bien chauffée, tu ne vas plus tenir en place !


Je vais plutôt te mimer la scène » ajouta Marc, sourire malin aux lèvres, en se relevant, le sexe bien redressé, et en commençant à caresser le corps de Carine qui, déjà bien sous tension, n’avait pas besoin de caresses pour être mis en capacité de faire de nouveau l’amour…


Elle s’offrit très vite, ouvrant les cuisses et attirant Marc sur elle, ce Marc avec qui elle se sentait de mieux en mieux, de plus en plus complice, et dont elle attendait le sexe en elle tout de suite, dès maintenant, là, il lui fallait être remplie, caressée de l’intérieur, besognée, elle réclamait la saillie, son vagin la brûlait presque…


Marc se plaça entre ses cuisses mais ne la pénétra pas ; il s’assit et contempla le corps de Carine, ses yeux brûlant de désir, ses seins fermes aux tétons dressés, son ventre tendu d’attente, son sexe humide entr’ouvert qui appelait le sien avec impatience.


« Viens, j’ai envie, fais-moi jouir ! » supplia Carine


« Doucement… Je t’ai promis de te mimer la suite de mon histoire : je vais te raconter la suite... » répondit Marc tendrement.


Et il approcha son sexe de celui de Carine, posa son gland à l’entrée, puis fixa Carine dont les yeux le suppliaient et effectua une tendre poussée pour insérer son sexe à l’entrée de son vagin.

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14 commentaires

M.B.Auzil

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Il y a 9 mois

Likes de soutien ;-) Je suis dans le même cas que toi, j'ai publié il y a 15 jours seulement et c'est compliqué de trouver des personnes qui veulent bien prendre le temps de lire ton roman car il y en a beaucoup ! C'est dommage car je suis venue sur ce site pour être lue et avoir des avis. Beaucoup se contentent de liker sans lire... J'espère que tu prendras le temps de lire quelques chapitres de mon roman et de me donner ton avis. Je vais le faire desuite pour ton roman. J'ai aussi quelques scènes "Hot" si ça peut te motiver ;-) M.B.Auzil

Irma Ladousse

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Il y a 9 mois

J'avance sur ton histoire j'ai liké le dernier, pour t'avancer, mais je lis les premiers pour le moment...

Martsoleil

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Il y a 9 mois

Eh oui comment écrire "passerais" ou "passerai" ????là est la question , bien sûr que c'est un futur proche (rire) ....normal c'est l'émotion qui monte que de suspense ces nouvelles. Une complicité entre Carine et Marc qui fait rêver Très belle rédaction, belle écriture. Quelle belle description !!!

Amphitrite

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Il y a 9 mois

C’est un futur dans le passé donc « passerais »…

Irma Ladousse

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Il y a 9 mois

Merci Amphitrite... (toujours présente, et réactive, merci !) Par contre, je laisse encore passer des fautes, ...ça m'énerve !

Amphitrite

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Il y a 9 mois

Moi aussi, plein…Fatigue, et surtout on voit mieux les fautes des autres que les siennes propres.

Amphitrite

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Il y a 9 mois

Toujours très très hot!
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