Irma Ladousse Carine & Marc Chap. 11 - Début de déblocage

Chap. 11 - Début de déblocage

Et enfin Marc osa ce que Carine attendait : il l’entoura des ses bras, lui caressa le dos, les reins, osa descendre sur les fesses, les presser - ‘Hum… Oui, c’est bon, continue, j’aime ça’, pensa Carine sans oser l’exprimer – et après une halte prolongée sur ses rondeurs fermes ses mains remontèrent vers la nuque, puis trouvèrent la fermeture qu’il commença doucement à descendre en guettant un signe d’approbation dans les yeux de Carine, qui tentait de rester neutre mais ne pouvait cacher l’excitation que ce geste lui provoquait.


Ce pétillement ressenti dans sa colonne devait se lire dans son regard : elle voulait lui dire qu’elle brûlait de désir, qu’elle aurait voulu l’entraîner vers son lit et s’offrir toute entière, immédiatement, de toute urgence, sans délai, cela la démangeait de bousculer les choses et assouvir le besoin de s’unir à ce garçon qu’elle désirait tant depuis hier, mais cette attitude posée dont il faisait preuve depuis leur rencontre au parc influait sur son impatience : elle avait avancé d’un stade tout à l’heure lorsqu’elle s’était rendue compte de la tension supplémentaire provoquée au fond de son désir par cette attente que Marc lui avait imposée, et elle acceptait de laisser les choses venir au rythme que Marc déciderait …

Elle, qui avait l’habitude de ne pas perdre de temps lorsqu’elle éprouvait du désir pour un garçon, se surprenait à prendre plaisir à la douceur de cette attente qu’elle subissait, et elle mit de côté son impatience pour se laisser aller : ce n’était pas désagréable, après tout…


La fermeture de sa robe était entièrement baissée, et Marc engagea ses mains sous le tissu mais ne les appliqua pas fermement sur la peau de Carine : il en frôla le satin du bout des doigts et sentit les vibrations que cette caresse si légère provoquait ; Carine ne put cacher les sensations électriques que ce contact créait, elle sentit son corps réagir jusque dans ses lèvres qui vibrèrent contre celles de Marc.

Ses mains poursuivirent le câlin, remontant sur les épaules puis descendant le long de la colonne en maintenant ce frôlement, presque une chatouille qui électrisait tant la peau de Carine, créant une tension épidermique ajoutant encore à son excitation déjà à son comble.


Les mains de Marc descendirent de nouveau, et osèrent un geste que Carine n’attendait plus : Marc glissa ses doigts sous l’élastique de la culotte de Carine, à la chute des reins, en haut des fesses et cela restait raisonnable mais la sensation des doigts de Marc passant la barrière du sous-vêtement emporta la décision de Carine de brusquer les choses : elle se détacha de ses bras, prit Marc par la main et l’entraîna vers sa chambre, ouvrit le lit en écartant la couette d’un geste brusque, se retourna vers Marc et, plantant ses yeux dans les siens, dégagea sa robe de ses épaules et, en soutien-gorge et culotte, tenue qui lui semblait encore pudique vue la situation, elle se blottit de nouveau entre les bras de Marc, relevant dans son regard un mélange de crainte d’avoir été trop timoré mais aussi, et surtout, la lueur d’un désir intense.


Marc reprit Carine entre ses bras et s’engagea davantage sur la voie qu’elle attendait : il passa de nouveau ses mains dans son dos mais s’arrêta sur l’agrafe du soutien-gorge qu’il détacha délicatement avec une facilité qui surprit Carine (‘Il sait faire !’) mais aussi la rassura (‘Il a l’habitude ?’) ; puis ses mains remontèrent sur ses épaules pour faire glisser les bretelles et libérer -enfin !- les trésors qui espéraient cette libération.


Carine décolla son corps de celui de Marc pour se débarrasser de ce carcan, et Marc baissa les yeux pour admirer la rondeur, la plénitude, la fermeté de ces globes et leurs tétons dressés comme sils le défiaient.

Il ne reprit pas Carine dans ses bras, il était comme hypnotisé par le spectacle de ces seins qui pointaient vers lui, quémandant ses caresses, ses baisers, ses mains, sa langue, sa bouche, sans plus savoir ce qu’il faisait il se mit à genoux et Carine se pencha un peu pour offrir à ses lèvres une pointe tendue qui ne demandait qu’à être embrassée, léchée, aspirée, mordillée…

Il donna tout d’abord de légers coups de la pointe de sa langue, puis en fit le tour, léchant l’aréole, déposa un bisou puis se tourna vers l’autre pointe pour la câliner à son tour, mettant de nouveau à l’épreuve la patience de Carine, sur le fond peu surprise de ce jeu que Marc lui faisait subir de fait depuis leur rencontre, mais qui n’en pouvait plus de devoir attendre son bon vouloir pour enfin s’offrir le plaisir que son corps réclamait depuis…, ...elle ne savait plus vraiment quand elle avait joui dans les bras d’un homme, mais cela faisait trop longtemps assurément, elle ne pouvait pas attendre encore, même quelques minutes, il fallait passer à l’acte, maintenant, sans délai !


Mais enfin Marc prit sa pointe entre ses lèvres, la suça doucement, alors que Carine avait besoin qu’il l’avale, qu’il la morde, avec une ferveur qui trahirait un désir aussi intense que le sien.


Elle s’agenouilla à son tour pour réunir leurs bouches dans un baiser fougueux, et ses mains se portèrent sur la boucle de ceinture de Marc pour libérer le reste de son corps et avoir accès à la merveille qu’elle brûlait de découvrir.


Marc la laissa faire, se redressant avec elle pour ôter son pantalon puis son boxer que Carine descendit jusqu’au sol en se baissant et resta à genoux pour faire connaissance avec ce jouet qu’elle avait imaginé hier soir seule dans son plaisir solitaire : il était à la hauteur de son rêve, elle déposa un baiser sur le gland dressé, et sentit Marc frémir sous ce contact 


Elle décida de jouer à son tour à ce jeu taquin de la lenteur, se vengea en donnant des petits coups de langue sur la hampe, en remontant depuis la base jusqu’au sommet sans atteindre le gland avant de redescendre en une caresse plus appuyée, elle ajouta le contact de sa main en soupesant du bout des doigts les testicules serrés dans leur sac tendu, et de l’autre main caressa le pubis de Marc en griffant de ses ongles la touffe drue peu fournie (‘il s’entretient, on dirait ?’ se dit-elle) puis passant sa main à l’arrière palpa fermement ses fesses fermes, tout en poursuivant le jeu de sa bouche, s’approchant régulièrement du sommet de ce pénis gonflé qui, la plainte rauque que Marc laissait échapper le lui prouvait, attendait impatiemment la chaleur de sa bouche entière.

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2 commentaires

Dixy

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Il y a un an

Like de soutien et merci pour ton aide ❤

Irma Ladousse

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Il y a un an

J'ai toujours peur de choquer (et en plus ensuite ça s'aggrave... 🫤)
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