La voilà à songer à l'Amour avec un grand A alors que son monde ne lui offre que le côté "pratique" de la Chose... Je sens qu'elle risque de se mettre dans tout un pétrin si elle s'aventure trop loin sur l'avenue de la cusrioté... Certes, je comprends ses motivations, mais est-ce judicieux vu son rôle de Om'na ? Ce chapitre est vraiment sublime et je dois reconnaître que tu sais écrire ce genre de scène torride... Je n'aime pas quand cela tombe dans la vulgarité, mais toi tu as tout décrit d'une manière si sobre et pourtant imagée que je trouve cela remarquable. Bravo !

L'héroïne à des scrupules à se servir de cet homme comme d'un objet, va-t-elle essayer de faire plus amples connaissance ?

Cette philosophie de l'homme objet est déroutante et tu le démontres très bien. Vers la fin, j'ai soufflé un "ouf", elle m'aurait déçu si elle avait continué, je crois ! A la réécriture je pense que tu pourrais amplifier cette rencontre et lui donner plus de corps. C'est un moment que le lecteur attend et il est passé trop vite en sommes(avec les 7000, je sais !)

Comme prévu, le début m'a fait mourir de rire. La façon dont elle découvre le corps d'un homme est très bien décrite. Tu ne rentres pas dans le vulgaire et c'est plaisant à lire justement. Le fait que ce soit des hommes prostitués en quelque sorte apporte du sang neuf à ton récit. Par contre je me posais une question. Comme tout le monde ne peut pas féconder les femmes, ça ne pose pas un problème de consanguinité à force ? Dommage aussi que tu n'aies pas inventé une anatomie qui leur est propre. Ton imagination est plaisante et je pense qu'il aurait fallu pousser le truc à fond justement. Je suis obligé de poursuivre maintenant ^^