Amir ne lui a pas tenu rigueur pour la fois où il s'est fait rembarrer sèchement. Heureusement, il est passé à autre chose 😉

Finalement, se faire vomir c'est son exutoire pour ne pas laisser ses pensées l'envahir et contrôler son esprit. À voir comment ses amis vont agir avec elle, si Laetitia sera là pour elle ou si au contraire elle ne pensera qu'à elle. Marc est étrange, ce qui aggrave les pensées d'Ophélie qui se rabaisse constamment. Je crains que cette maladie finisse par l'isoler, à voir comment tu vas l'amener ensuite.

En fait, ce qui transparaît dans ce chapitre, encore plus nettement que dans le précédent, c'est le trop-plein. Je me demandais où ça allait mais là, c'est limpide. On s'interroge toujours sur le rôle que Laeti va jouer là-dedans : confidente fiable ou facteur aggravant ? Je me pose une autre question : quel est le rapport exact à la nourriture d'Ophé à ce moment-là ? Je réalise que ça n'apparaît pas encore trop dans le texte. C'est plutôt vider l'inquiétude. Une approche très intéressante, vraiment :)

Chapitre nécessaire pour bien mettre en évidence son mal-être et sa tendance au dénigrement. On commence à saisir ce qu'elle recherche en se faisant vomir et c'est touchant. Difficile de rester insensible face à sa détresse...