Salut, la lecture de cette suite de chapitre ne fait que confirmer mon avis précédent. L'ambiance de ce repas de noel est explosive parce les parents de Juliette s'obstinent en effet à garder un lien qui n'est plus nécessaire puisqu'ils ne sont plus en couple depuis 10 ans en plus. Ils ne s'apprécient pas du tout, je dirais même qu'ils sont exécrables dans leur propos. Tu montres donc bien les mots acerbes et les rancœurs de ces personnages ex-époux. Moi, je ne considère pas que la mère aime toujours cet homme, c'est juste un orgueil très mal placé d'avoir été quittée pour une femme plus jeune qu'elle. Il est vrai, que 10 ans plus tard, elle devrait déjà avoir fait son deuil de tout cela. En ce sens, elle aurait besoin d'une bonne psychothérapie. Parce qu'en attendant, ce sont leurs enfants qui en payent les pots cassés. Je ne vois pas en quoi cela leur fait du bien d'assister à des scènces aussi consternantes chaque année! Et les pensées de Juliette le prouve bien, ainsi que les tentatives du frère de détourner la conversation des parents. La mère veut juste avoir l'illusion que son portrait familial d'avant existe toujours. Et le père accepte cela, pour un ne sait quelle raison masochiste. // De plus Juliette critique beaucoup ses proches dans sa tête, elle gagnerait ne serait-ce que pour sa santé mentale de dire vraiment ce qu'elle pense a ses parents et à son oncle libidineux. Elle n'est pas heureuse, et sa famille n'en a aucune idée. Leur réaction pourrait la décevoir, certes, mais au moins elle s'affirmerait plus à leurs yeux.