Je n'ai pas de suite compris que c'était Rebecca car je ne me souviens pas avoir lu son nom de famille avant mais je l'ai déduis. Le dialogue entre les deux manque parfois de justesse. Au téléphone, elle avait expliqué la raison de l'appel. J'ai l'impression que Samuel s'accuse quelque peu seul. Mais je suis contente de voir la liaison se faire dans le binome.

Une fois de plus je ne suis pas objective car connaissant l histoire certains détails qui ont dérangé les autres sont passés pour moi 😉

J'ai relu et effectivement, c'est nécessaire !

3) y’a quelques points qui m’ont surprise. Une seule personne qui répond dans tout le répertoire ? Étonnant. Tu pourrais peut-être dire que d’autres ont été interrogés avant lui, que d’autres vont arrivés… qu’ils attendent de rentrer chez eux… Pourquoi dire « femme avec une curiosité lui paraissant déplacée dans le contexte » ? Moi je trouve ça normal, puisqu’elle est flic. La fin est assez étonnante aussi, c’est un peu soudain. Pourquoi est il accusé lui même ? Surtout que ça serait vraiment de la chance, pour la police, que le seul mec qui réponde au téléphone parmi les amis de la victime soit son complice.

2) Je n’avais pas compris tout de suite qu’il s’agissait de Rebecca, ne me rappelant pas de son nom de famille, tu peux peut-être ajouter son prénom quand elle se présente. je trouve qu’elle oublie aussi de voir Bruno comme une victime. Certes, elle l’exécre et c’est elle qui a été son bourreau mais les autres ne le savent pas. Ok il est accusé par une anonyme mais il a quand même lui même etait agressé. Et je trouve que ça ne ressort pas dans ses propos et surtout dans les réactions de ses collègues (absents pendant le dialogue) et de Samuel.

1) J’ai trouvé que ce dialogue manquait de clarté et avait besoin d’être retravaillé. Il y a pas mal de répétitions qui alourdissent la lecture. « Lorsqu’il annonce avoir frappé son ami, le jeune homme remarque un soubresaut » Tu devrais le dire pendant la réplique je trouve, quite à la couper. Mais ça éviterait de redire ce que Samuel a dit. … par exemple, « je l’ai frappé. Samuel remarque un soubresaut… - j’espère que je ne suis pas responsable… » Plus tard, la policière dit que son nez est le cadet de ses soucis. Mais Samuel n’a pas dit l’avoir frappé au nez.

En effet...