J'apprécie de plus en plus le personnage de la directrice avec chacune de ses apparitions. Elle casse un peu le cliché de mère fouettard qu'elle semble incarner, si elle fait chialer ses élèves, si elle parait terrifiante c'est plus par une bienveillance intransigeante que par une quelconque forme de malveillance. Au final, elle est assez neutre, représente une sorte de force de la nature, le fait de devoir mettre le nez dans sa propre merde pour pouvoir la conscientiser et peut être commencer à s'en sortir par la suite, quelque chose d'aussi déplaisant que nécessaire. Elle n'est pas à un moment hostile, juste sèche, mais terrifie les élèves car elle les met face à eux même et leur dit de faire du vélo sans roulettes, quitte à tomber, parceque c'est comme ça qu'on apprends à faire du vélo.

Je trouve que tu utilises souvent le "ombres menaçantes" pour décrire l'éclairage à la bougie. Je te conseillerai de changer un peu cette formule ou de trouver une autre image qui rende le même effet pour mettre en place l'ambiance. Car ça a beau ne pas être vraiment une répétition on se dit quand même "tiens j'ai déjà vu ça" en passant dessus. Attention aussi aux pronoms. Si dans la plupart des phrases ça passe, j'ai remarqué que dans les dialogues entre deux personnages féminins tu as tendance à raccrocher par défaut les pronoms à Jenna même lorsque c'est grammaticalement incorrect et cela peut amener des contresens et confusions. C'est particulièrement visible dans ce dialogue où le même pronom dans la même phrase fait référence à deux personnages différents.

Waouh, ce chapitre est si poignant ! TnT