Paméla F A.J. - Qui es tu ? Mary

Mary

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21 commentaires

Livia Tournois

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Il y a un an

Cette Mary a du caractère et bien du courage de vivre au septième étage sans ascenseur avec un genou mal en point !

Paméla F

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Il y a un an

oooh que oui !

Warren J.

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Il y a un an

Oublie le texte plus bas, une erreur de copié / collé. Le vrai, c'est celui-ci : En tout premier lieu, qui est Dorothy dont Mary reconnait la voix ? Le prénom n’a pas été cité au chapitre 1. Le contexte aide à comprendre qu’il s’agit de Mme Simon mais j’ai fait un retour arrière pour aller vérifier au chapitre 1. Voilà que l’on découvre le premier antagoniste de Skeeter : l’acariâtre voisine. Hâte de voir de quel côté la ranger : obstacle ? alliée ? mentor ? En tout cas, le récit amène des thèmes supplémentaires, au rêve américain du chapitre 1, voilà que se pointent les conflits générationnels et la solitude des personnes « âgées ». J’apprécie l’absence de dialogues qui tenteraient d’expliciter les positions respectives de chacun des deux personnages ; ce qui rend, à mon sens, l’interaction crédible. Le « de rien » de Mary nous indique qu’elle a du caractère et qu’elle ne va pas se laisser rudoyer par la voisine ; même si la politesse (dont elle fait preuve en lui proposant de l’aider) indiquerait de s’écraser devant un aîné. Une entrée en douceur du second personnage. Il ne manque qu’une fenêtre sur la cour pour qu’elle puisse observer ce qui se passe en contrebas.

Paméla F

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Il y a un an

Dorothy est Mme Simon, exact. Mary l'appelle par son prénom. Merci pour ton retour sur ce chapitre

Warren J.

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Il y a un an

Premier jour au boulot, premières péripéties. Nouveau rédac’ chef ayant un passé de militaire. Je saute directement à la conclusion, très drôle, peut-être exagérée. Peut-être décrire que Mary réprime le réflexe de bondir et de clamer un « chef, oui chef ! » tout en claquant des talons. Mais je n’ai pas encore la psychologie de Mary (à tout prix) en tête. Tu es la mieux placée pour en parler. L’effet comique marche en tout cas sur moi. Je note le « Un magnifique bâtiment avec l’écriture bien particulière du New York Times » ; qui me rappelle, en mieux, le « C’est alors que je lève la tête vers un immeuble magnifique » du chapitre 1. C’est efficace. Au risque d’alourdir le passage tu pourrais peut-être en dire plus sur le building (construit par Renzo Piano ? une conception moderne et innovante, éco-responsable ? la présence d’un jardin suspendu ou d’un rooftop ? un emplacement stratégique sur l’île de Manhattan ? Il y a quoi d’autres dans le quartier ?) Développer de trop peut aussi ralentir le rythme. Mais peut aussi aider le lecteur à voyager.

Paméla F

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Il y a un an

Bonne idée, je vais m'en inspirer pour le prochain passage au bureau ;)

Warren J.

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Il y a un an

En tout premier lieu, qui est Dorothy dont Mary reconnait la voix ? Le prénom n’a pas été cité au chapitre 1. Le contexte aide à comprendre qu’il s’agit de Mme Simon mais j’ai fait un retour arrière pour aller vérifier au chapitre 1. Voilà que l’on découvre le premier antagoniste de Skeeter : l’acariâtre voisine. Hâte de voir de quel côté la ranger : obstacle ? alliée ? mentor ? En tout cas, le récit amène des thèmes supplémentaires, au rêve américain du chapitre 1, voilà que se pointent les conflits générationnels et la solitude des personnes « âgées ». J’apprécie l’absence de dialogues qui tenteraient d’expliciter les positions respectives de chacun des deux personnages ; ce qui rend, à mon sens, l’interaction crédible. Le « de rien » de Mary nous indique qu’elle a du caractère et qu’elle ne va pas se laisser rudoyer par la voisine ; même si la politesse (dont elle fait preuve en lui proposant de l’aider) indiquerait de s’écraser devant un aîné. Une entrée en douceur du second personnage. Il ne manque qu’une fenêtre sur la cour pour qu’elle puisse observer ce qui se passe en contrebas.

Agathe Pearl

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Il y a un an

Je vais continuer de te lire j'aime beaucoup la fluidité de ton ecriture

Paméla F

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Il y a un an

Merci !

Agathe Pearl

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Il y a un an

hesites pas a passer sur mon histoire