Fyctia
Chapitre 2
Arrivé devant l'enceinte du lycée mon passé reviens me hanter, comme si un moment de stress me faisait revenir en mémoire un souvenir précis dont je détestais me rappeler et qui revenait sans cesse.
Ce matin la le jour ce lève, un jour comme un autre. Chaque personne reprend le court de sa vie comme si personne n'avait pu entendre ce cri déchirant, celui d'un enfant dans la nuit et cette violence inouï et ensuite le silence. La nuit emplissait l'atmosphère, dans le calme ou avait regné le chaos quelque seconde avant que le monde ne continue à tourner. Puis quelques jours après chacun s'était à nouveau muré dans l'ignorance de ce qu'il s'était passé cette nuit la. J'ai entendu une fois dans un film qui abordait jésus dans une école catholique, que parfois dieu pouvait faire tomber un crayon par terre et le temps qu'il lui fallait pour le ramasser et relever la tête, il s'était passé 100 ans pour nous, car il ne peut pas s'occuper de tout les drame du monde, et bien ici je crois que jésus a aussi dû faire tomber son satané crayon encore une fois.
Je reprend mes esprit et me rend compte qu'on m'observe un peu, j'étais tellement perdu dans mes pensées, que je fini par me griller une clope avant de rentrer dans le lycée et affronter de nouveau tout les regards de ceux qui ce demandent d'où je viens, si on m'a déjà vu avant. Je repenses à toutes les écoles que j'ai fréquentés, aux barrières que je me suis forgés, s'attacher aux autres c'est prendre le risques d'en souffrir. De mon ancienne vie j'ai gardé un seul contact, Daniel, avec qui j'ai presque grandit, nous vivions dans le même quartier. Et quand tout est parti en vrille, lui est resté et à toujours été présent malgré mes placements. J'ai continué a lui envoyé des cartes postale car cela etait lon seul contact de la vie d'avant, et comme quoi la vie fait des fois bien les choses il abait une tante pas loin de ma famille d'accueil. Il ne m'a jamais posé de questions sur ce qu'il s'est passé ou ce que j'ai vu. Encore dans mes pensées j'entends qu'on me demande du feu. Je relève les yeux et je vois en face de moi une nana plus petite que moi, brune les yeux verts, un visage doux, qui me toise de haut en bas discrètement. Je lui tend mon feu sans pour autant lui sortir un mot. Je ne suis pas à l'aise avec les inconnu et encore moins les filles ni tout autre personnes d'ailleurs.
- Toi tu n'es pas du coin je me trompe ? Me dit elle, sans détour.
- Non tu ne te trompe pas, je dis nonchalamment
J'espère qu'elle ne va pas me questionner comme ça longtemps je n'aime pas les interrogatoire ou qu'on essaye de creuser des choses sur moi.
- D'accord tu n'es pas trop bavard, moi c'est Iris Deliah et toi ?
Je l'a regarde encore une fois, j'écrase ma cigarette sous mon pied et sans répondre à sa question je prend mon sac et franchi le portail. Ça en es déjà trop pour moi aujourd'hui côté interaction social. Je l'entend pester sur mon manque de politesse avec sa copine. Mais c'est le cadet de mes soucis, je préfère passer inaperçu que de perdre mon temps à parler avec des gens qui n'attise pas mon intérêt. Moins on cherchera à en savoir sur moi mieux je me porterai.
Le début de journée se passe relativement rapidement entre salle de classe, la paparasse aa remplir comme tout les première journée, les explications des profs sur le projets du cours sur l'année barbant mais ça occupe l'esprit. Vient le moment du self, aucune envie de me retrouver mêler et entourer de personnes, je décide donc de sauter le repas de midi. Heureusement j'avais pris dans mon sacs des gâteaux mes écouteurs, manque plus qu'à me trouver ma planque tranquil ou personne ne viendra me déranger le temps de la pause. Je fais un peu le tour de la cours et je trouve un coin où il n'y quasiment personne, et dans le bout un banc près de la grille qui surplombe le terrain de sport en contrebas. Parfait l'endroit idéal pour passer inaperçu car la majorité son aglutiné sur les rebords de murs l'herbe
2 commentaires
Anthony Dabsal
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Il y a 2 mois
Mia29
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Il y a 2 mois