Jean-Marc-Nicolas.G À la découverte des Anachorètes. Il y en a des gentils.

Il y en a des gentils.

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7 commentaires

Léoneplomb

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Il y a 3 ans

Une médaille à laquelle Rachel tient énormément pour protéger Liotta et pour lui dire qu'elle reviendra.La main de Karl sur celle de Rachel, signe de tendresse, d'amour, oh que j'aime bien ça !

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 3 ans

Bonjour Léone, oui, une médaille en gage de fidélité dans ses engagements à l'égard de Liotta. Et Karl qui est un ours au cœur tendre.

Véronique Rivat

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Il y a 3 ans

La tendresse qui lie liotta et Rachel est si touchante que j'ai la larme (salaud) ! Mais je pense que le lien qui les unités est encore bien plus fort mais je n'arrive pas à démêler ton nœud alors j'attends sagement la suite 😁 je me suis installée dans un fauteuil avec un café et un morceau de brioche... ne me fait pas languir trop longtemps 🥰

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 3 ans

Bonjour Véronique, les liens sont des nœuds marins, mais ils se dénouent peu à peu. La brioche était bonne? Tu ne te languiras plus, le suivant est sur la ligne. Mais évite de manger des brioches au même rythme que les sorties de chapitres😁😂tu vas gonfler jusqu'à l'éclatement💥

Gottesmann Pascal

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Il y a 3 ans

Liotta n'est vraiment pas une petite fille comme les autres. Il n'y a qu'à voir comment elle comprend Rachel et sent qu'elle n'est pas une femme ordinaire. Quand à la relation mort née avec Karl, il n'est jamais trop tard pour gouter un peu au bonheur, surtout dans un monde aussi sombre que celui que tu décris.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 3 ans

Bonjour Pascal, oui, Liotta possède sans doute une sensibilité plus forte que la moyenne des autres. Car tout est question de sensibilité. Pour la suite, il est vrais, que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.😊

Sand Canavaggia

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Il y a 3 ans

Comme je suis en premier su ton chapitre, il y a longtemps que je ne dis plus rien, mais tu m'as dit pardonner mes messages ponctuels plutôt que régulier comme tu en as l'habitude avec mes lectures, je suis un peu débordée mais je te lis toujours et ce chapitre ne pouvait passer entre mes filets, comme Karl avec Rachel. C'est ce que j'appelle le chapitre qui dépasse l'Everest au niveau émotionnel et culmine dans les double sens psy de tes personnes, si vivantes et si démarquées les unes des autres. En premier la mère et cette usine à caoutchouc et Karl qui est presque soulagé de ce qui commence à le perturber et préfère mettre sur le compte d'une usine ce qu'il ressent bien comme étant autre sans le définir. En second, la notion des volets que l'on sait sans crémone et ce froid comme un appel aux forces obscures que l'on place volontiers sur les fissures et trous de la maison, troisième phase le côté monstres, sorcières en association à ce qui fait peur aux enfants et Rachel qui donne une image à Liotta plus rassurante "gentil//méchant" cela parle aux enfants dans un sens ou l'autre, mais là elle rassure, quatrième points cette chaîne qu'elle prête pour rassurer encore, s'identifiant à elle, elle se rassure aussi, cette part d'enfant blessée et pour finir, le cinquième ce retour en voiture la gêne d'un baiser délicieux, un habitacle trop petit ou trop grand tant les émotions en mange l'espace, la constatation d'un amour et l'opposition de cet amour impossible digne des grandes dramaturgies d'un temps...Magnifique ce que je peux voir dans aussi peu de caractères, c'est d'une beauté, j'applaudis l'auteur dans cette belle prestation et ce qu'elle dégage dans ma sensibilité de lecture. Merci de ce partage magnifique et bonne continuation à toi, tu sais qu'un autre com sera là dans quelques chapitres, je n'y manquerai pas🤩😊😉😊