plumefrancaise Une française à la cité. L'emménagement.

L'emménagement.

Nalya : 17 ans, blonde aux yeux verts, cheveux assez long doté d'une couleur blonde, petite de taille, calme et douce.


Chris : Papa de Nalya, 40 ans, pompier, grand, cheveux noirs, yeux marron clairs, toujours à l'écoute des autres.


Mariam: Maman de Nalya, 39 ans, infirmière, cheveux blond mi-long, pleine de vie, éperdument amoureuse de son mari, protectrice envers son enfant.


Dreg: le petit dernier de la famille, c'était un bouledogue blanc, assez agressif quand un inconnu s'approche de sa petite famille.


C'était sous une pluie battante et une route périlleuse que la petite famille prit le chemin de leur nouvelle maison. La voiture était plongée dans un silence de mort. En observant par la vite de la voiture, on pouvait apercevoir les branches se secouer violemment au rythme du vent. Quelques feuilles assez fragiles venaient se poser sur le sol humide. Le bouledogue dormait paisiblement sur la banquette arrière, ronflant comme un âne, cassant totalement le silence.


> Me demanda mon père, heureux.


>


Des amies? Là-bas? J'ai toujours entendu dire que les gens habitant dans une cité étaient tous plutôt violent les uns que les autres. Drogue, alcool, violence, vole, voila ce que je me faisais comme une idée de la '' cité ''.


Après quelques longues heures de route la famille arriva  enfin à destination. Elle roula le long d'une grande route, on pouvait observer des tags sur chaque bâtiment et portes également, des jeunes étaient dehors, protéger sous des aires de jeux ou bien dans les halles. La voiture se gara devant une petite maison au coeur de la cité, heureusement, il n'y avait pas que des bâtiments, mais cela changeait complètement de son ancienne maisonnette. Celle-ci paraissait beaucoup plus petite vu de l'extérieur, l'herbe n'avait pas été entretenu depuis des jours, cela commençait visiblement bien.


s'écriait mon papa, enthousiaste.


Malheureusement, ce n'était pas mon cas. La capuche sur la tête, j'ouvris la portière posant un pied au sol, suivi de l'autre. La pluie battait, mouillant complément mes affaires, heureusement, mes cheveux étaient aux secs. En tournant le regard, je vis au loin une bande de garçons, les yeux rivés sur moi.

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4 commentaires

Hoolaa

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Il y a 9 ans

Je suis passée comme prévu ^^

Sereiinee

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Il y a 9 ans

J'aime bien, ça ressemble aux styles chronique sur Fb. Juste une question t'habites dans une cité ?

Cassy Hope

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Il y a 9 ans

Aaah j'aime les jeune désabusés ! hâte de voir ce que tu vas en faire et qui est cette bande de gars ! Hésite pas à me lire si ça te tente ^^
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