Modifications du dernier paragraphe :
11 h 50, j’ai provoqué cet arrêt. C’est ce que Rose m’explique. Elle me dit ça d’un air sérieux et sûr d’elle. J’attrape sa main, elle m’entraîne avec elle dans son sillage. Je la suis, cette fois les rues sont vides, le silence et le calme sont pesants mais le fait de ne pas voir ces statues humaines m’apaise un minimum. Elle nous dirige vers la centrale nucléaire, ce lieu qui, il y a trois ans a engendré une catastrophe.
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Sandra MALMERA
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Il y a 6 ans