Superbe préparation ça donne envie!

Eh eh, pauvre héroïne. Par contre, je suis inquiet, j'espère que Marius prend pas trop de place par la suite parce qu'on a VRAIMENT envie de le tarter.

J'aime bien comment tu joues sur le contraste entre le bonheur d'Emy et la solitude de Louisa. Elle fait vraiment de la peine dans ce chapitre. La nourriture est un refuge pour elle, mais j'avoue que tu as réussi à me donner envie de me goinfrer de pâte de fruits et de chocolat. Autre chose, Louisa ne croit plus en l'amour et je pense que c'est surtout pour ça qu'elle a du mal à se réjouir pour son amie. Tous ces éléments contribuent à lui donner une image plutôt négative de Noël. En fait, ça ne lui parle pas, parce qu'elle n'a pas de famille et une seule amie.

On ressent bien la tristessr de Louisa